Commentaire de Philippe VERGNES
sur « Où est Charlie ? » : le retour du fascisme et du totalitarisme sous le masque de la perversion narcissique
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@ JL,
« L’érotisation du conflit, c’est bien une caractéristiques des pervers narcissiques, ça, non ? »
Heu... comment dire... vous êtes un livre ouvert à vous tout seul cher Don Quichotte. Je me demande bien où vous êtes encore allé la pécher celle-là. Nouvelle formule magique ?
(Heu... si vous voyez dans mes commentaires, une quelconque « érotisation » [je vous aime bien mais quand même, d’où sortirai-t-elle ?], il faudrait vraiment que vous pensiez sérieusement à aller consulter. Je peux vous renseigner sur de très bonnes adresses si vous le voulez. Vous verrez, ça vous fera du bien. Vous vous sentirez moins seul après.)
Quant à l’hystérie et au mimétisme... comment dire, je découvre ces notions à travers vous.
« J’adore ce... comment dire, concept : »pervertir les détails« ! Il n’y en a qu’un ici, capable d’inventer ça, et ça n’a pas manqué. »
Normal, c’est le résumé, en trois mots spécialement pour vous, des travaux de Racamier concernant les modes de transport de la pensée perverse (un article en cours de préparation que grâce à vous j’aurais bientôt presque terminé).
Quand je vous dis que vous êtes ici ma Muse, je n’exagère en rien...