Commentaire de Philippe VERGNES
sur « Où est Charlie ? » : le retour du fascisme et du totalitarisme sous le masque de la perversion narcissique


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Philippe VERGNES 21 mars 2015 12:41

@ JL,

« L’érotisation du conflit, c’est bien une caractéristiques des pervers narcissiques, ça, non ? »


Heu... comment dire... vous êtes un livre ouvert à vous tout seul cher Don Quichotte. Je me demande bien où vous êtes encore allé la pécher celle-là. Nouvelle formule magique ? smiley

(Heu... si vous voyez dans mes commentaires, une quelconque « érotisation » [je vous aime bien mais quand même, d’où sortirai-t-elle ?], il faudrait vraiment que vous pensiez sérieusement à aller consulter. Je peux vous renseigner sur de très bonnes adresses si vous le voulez. Vous verrez, ça vous fera du bien. Vous vous sentirez moins seul après.)

Quant à l’hystérie et au mimétisme... comment dire, je découvre ces notions à travers vous. smiley

« J’adore ce... comment dire, concept : »pervertir les détails«  ! Il n’y en a qu’un ici, capable d’inventer ça, et ça n’a pas manqué. »

Normal, c’est le résumé, en trois mots spécialement pour vous, des travaux de Racamier concernant les modes de transport de la pensée perverse (un article en cours de préparation que grâce à vous j’aurais bientôt presque terminé).

Quand je vous dis que vous êtes ici ma Muse, je n’exagère en rien... smiley

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