Commentaire de Trelawney
sur Les tabous de l'affaire Clément Méric et des « commémorations »...


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Trelawney 12 juin 2015 10:11

Esteban Morillo et Clément Méric sont tous les deux aux antipodes de la politiques.

Clément Méric a choisit son camps sa secte son groupe comme vous voulez en fonction des circonstances de la vie. Fils de parents professeurs, il s’est senti faussement une conscience politique vers la gauche et l’extrême, mais s’il avait été fan de foot, il se serait retrouvé dans un club de supporters du PSG à casser de l’arabe ou du juif. Pour le coup il a fait comme Besancenot, qui pense qu’il a suffisamment d’intelligence pour dicter aux ouvriers comment sortir de sa condition. Ainsi dès la naissance il a tout l’équipement pour être un parfait dictateur.

Esteban Morillo est le brave costaud un peu con sur les bords, qui a choisit « la France au français » parce que son copain en fait parti et que si mon copain en fait parti c’est que ça doit être bien.

Tout deux se sont rencontrés et l’un d’eux est resté sur le carreau. Mais si par grand coup de bol Méric avait obtenu le pouvoir, Morillo aurait pu être dans la dictature Meric un parfait gestapiste et lycée de Versaille.

Un film explique très bien la vie de ce genre de personnage qui se laisse flotter par les événements et se rattache à des dogmes pour faire oublier qu’ils n’ont aucune conscience et aucun caractère, c’est « Lacombe Lucien ».

Je ne m’apitoierais donc pas sur le sort de Morillo, ni ne compatirais avec la famille Méric


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