Commentaire de bakerstreet
sur J'ai les boules : ce Tour m'emmerde...


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bakerstreet bakerstreet 16 juillet 2015 22:00

Bon, qu’est ce que c’est la morale de tout ça ? On s’emmerde sur le tour !

Aujourd’hui sous la pluie la brume, à ne pas y mettre un Armstrong dehors ! On aurait bien voulut voir sortirJack The ripper de la brume pour s’occuper de Froome, ! lLe seul mec capable semble t’il de l’arrêter. 
Froome- froome est il crédible, c’est la grande question, qui remet le problème grec , ukrainien, Iranien, à leur place ! C’est à dire bien loin derrière le tour de france. Le mois de Juillet ramène les fondamentaux, les bases essentielles de l’équilibre d’un homme, à mon avis, indissociable de son vélo
Revenons à Froome, the big problem !
 Pour moi, un type qui sème les motos lancées à sa poursuite a tout d’un escroc en fuite : « Accroche toi à moi, petit, aurait il au motard. 
Mais vieux motard que jamais ! »
« Sky ! Mon mari ! » Se serait exclamé la femme de Froome alors qu’il arrivait bien trop vite chez lui, comme à son habitude. 
Depuis les alpes, je m’ennuie ferme ! Je préférais la traversée de la Bretagne, à cause des vues d’avion qui font voir aux petits ce quel les grand voient tous les jours. J’aime aussi comme Brel le plat pays, les blés qui ondulent, et le spectacle des pitts bull déboulant sur les lignes droite au bout de 200 kilomètre. Des chutes, et des chuts ! Il ne faut pas parler de ça !
Le dopage, c’est comme l’affaire Dreyfus autrefois. Des camps opposés qui se tirent sur la barbe, qui s’invectivent
En Bretagne on sait garder son quant à soi, on ne se répand par terre, on a sa fierté. Tous ces gus qui abandonnent me donnent la nausée, moi qui n’ai jamais renoncé à aller chercher mon pain à la boulangerie en vélo
 Avec ça, même pas la vue du mont saint Michel de saint michel l’’archange en vélo pour nous empêcher de pousser un roupillon....Que fait la télé mon bon monsieur ? Les menhirs sont restés à attendre, sur le bord de la route. Ils attendent d’un tour de France à l’autre. On ne fait pas mieux comme supporter que le menhir breton. 
 Faut mettre toujours un peu d’humour sur les pignons, ça fait office de lubrifiant. Un secret qu’on se transmet ici de génération en génération, et qui vous fait oublier que vous pédalez même pas pour la gloire sans maillot jaune. 
C’est pour ça que les grecs devaient se remettre au vélo. 
Pourquoi ne pas envisagé un tour de france greco-Turc, partant d’Athènes, arrivant à Istambul, avec Merkell , montée sur une motot, pour faire le commentaire à la télé ? Ca rapprocherait deux peuples qui ne s’entendent pas trop. Le vélo surtout en tandem, a beaucoup fait pour les rapprochements des peuples. C’est pour ça que les poilus ne faisaient pas la guerre en vélo !
Jadis j’ai traversé le Péloponnèse sur un vieux biclou, sans vitesses, avec un pain immense sur le porte bagage,. 
Chaque jour je découpais une grosse tranche, comme dans un bouquin de Giono. 
C’est le secret du bonheur. Et à deux c’est bien mieux. 

Au delà, c’est dangereux, on le voit sur le tour, on le voit en Grèce. 
Trop de gens amènent des problèmes insurmontables, une organisation immense, des miss convertibles, des marchands de saucisson roulant en 2 Ch Citroën..... Un humour incroyable finalement, pourvu qu’on prenne au deuxième degré qu’on ferme les yeux dans les descentes, qu’on se souvienne de sa jeunesse, avec les copains, sprintant sur une route déserte, après avoir regardé l’étape. 
Bien sûr, c’est facile, de se moquer, de voir que les défauts, le saucisson cochonou que des types s’injectent, des coureurs qui ressemblent à des barils de lessives montés sur des roues. 

Et les oplides, et les gladiateurs ? Vous allez pas me faire croire qu’ils n’étaient pas sponsorisés par Cochonou ! 
je suis pas tombé de la dernière pluie, quand même !
Faut pas chercher à me la faire, à jouer au malin !
Ca fait longtemps que le monde est pourri, et si c’avait changé ça se saurait. Le journal l’équipe nous aurait annoncé la bonne nouvelle !

Le pire, c’est que je m’intéresse, et que je prends partie pour un petit gars bien de chez nous.
 Un copain de mon fils, il passait à la maison tout môme jouer dans le tas de sable avec les petits coureurs. Le monde est bizarre quand même, avec ces karmas à manivelle et à rayons. 
Je réponds de lui. .... Prope comme un pope grec ! 
Mais est ce bien heureux, cette expression ?
Finalement je voudrais bien être à sa place, retrouver mes vingt ans, le guidon devant moi dans les descentes vertigineuses des cols !
Je retire donc tout ce que j’ai dit de méchant sur le tour de France, les champions, les grecs en vélo, ou non. Et même le saucisson cochonou. Tiens, j’en reprend même une tranche !


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