Commentaire de Gabriel
sur A propos du Tableau « Le Cri » d'Edward Munch
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La vie doucement de vos corps s’évapore, la folie visionnaire qui vous ronge et vous accompagne jamais ne vous trahit, de ce monde en déliquescence où vous jouissez de la souffrance d’autrui, un silence assourdissant dans mon âme hurle son cri, consumant mes ailes et violant mon esprit.