@Touche pas à mon melting-potes libéral américain, souchien rouge !

il n’y a pas de vrai ou de faux fascisme. Robert Paxon qui a analysé le comportement des états après guerre relève cinq critères qui y conduisent et ils ont existé même dans des états communistes. le fascisme associe le populisme (péjoratif), le nationalisme et le totalitarisme dans la recherche d’un idéal suprême, à ce titre l’hégémonie du néo libéralisme qui tout en ventant les vertus de l’individualisme engendre des comportement collectif de soumission à une structure suprême qui est la loi du marché et le développement de la pensé unique.
 Il n’est donc pas simple de si retrouver pour qualifier des comportement de nature à engendrer une fascisation. c’est pour cela qu’il faut s’en tenir à des critères , la recherche d’un chef charismatique, le pouvoir autoritaire, le nationalisme, la désignation d’ennemie de intérieurs, l’anti libéralisme. c’est pour cela que l’on trouve des tendances fascisant dans tous les partis.
il ne sont pas le propre d’un , même si le FN l’incarne le mieux, il illustre la réponse des citoyens face à des situations qui les affectent et que le libéralisme n’arrive pas à solutionner quand il s’idéologise comme c’est le cas actuellement, et devient lui-même un façonneur de critères fascisant. comme l’écrit Clouscard, l’état, c’est à dire les hommes que nous élisons suivant les époques soit toutes les périodes avant 1944 était des gouvernement de classe bourgeoise, à l’exception du gouvernement de Léon Blum. aujourd’hui l’appel à l’état pour refuser la mondialisation est une lutte perdu d’avance, le développement des moyens de communication et la technologie ne permettent plus un replie sur soi. Par contre il y a une lutte à mener au travers de l’état pour contracter une émancipation des états dont la concurrence repose sur le moins disant social. http://ddacoudre.over-blog.com/2015/02/pour-creer-des-emplois-il-faut-en-suprimer.html.
cordialement.