@mmbbb

il me semble avoir écrit, que ce comportement fascisant vaut pour tout les, homme et que dans les autres états du monde la xénophobie et le racisme existe, donc y compris chez ceux qui disent « niq ta mère ». ce que je dit c’est que ce phénomène bien réel que l’on mesure plus particulièrement dans des lieux de concentration humaine de zone pauvre et beaucoup plus rependu que dans d’autres milieu sociologiquement nanti. nous n’avons toujours pas compris que la morale n’est pas faite pour faire accepter la pauvreté, et ceux qui se révolte parce qu’il ne peuvent accéder à la richesse qu’ils désirent nourrissent rancœur et la majorité d’entre eux soumission sinon ce serait la révolution permanente. cela à toujours existé puisque notre organisation politico-économique repose sur la gestion de la rareté, ce qui implique que certains seront écartés de la possession des biens si dans un monde occupé de toute par où n’existe pas un espace libre pour les nouveaux venu au monde, ceux qui l’occupent ne leur font pas une place (malthusianisme). il est bien évidant que ceci qui est effectivement une analyse sociologique emporte de devoir l’apprendre, car l’instruction n’est pas inné. nous apprenons non pour nous faire plaisir mais pour comprendre les sources des problème que pose notre existence collective sédentaire, et apporter des solutions, car individuellement nous ne disposons que de petit moyen de perception de notre environnement qui ne dépasse pas les 360 mètres seconde pour entendre et 20 kilomètres pour la vue. pas de quoi entendre et voir le monde
 nous le découvrons le monde et l’autre grâce à notre intelligence dont chacun est pourvu pour peu qu’ils s’instruisent de ce que les hommes ont cumulé comme savoirs (avec ses erreurs) depuis l’âge préhistorique. Ceci n’est pas accepter ni excuser les manquement qui nuits aux autres, mais leur compréhension pour trouver une solution aux difficultés qui se posent. dans un monde où nous pouvons nourrir tout le monde il est anormal que des gens s’en trouvent écartés, mais il est bien évident que nous ne pourrons pas tous disposer d’un château de Versailles. Il devient donc nécessaire de trouver un sens à l’existence que celui du chacun pour soi dans un monde interdépendant. il ne faut pas être étonné que développant « égologisme » dans un univers où chacun dépend des autres nous rencontrions les difficultés que tu soulèves, puisque eux aussi sont « égoïste » et le plus souvent ne disposent pas de conscience politique de classe et rêvent donc de l’oisiveté qui est le crédo mercantile d’une société qui vend des illusions commerciale à longueur de journée par la publicité, et puis doit par la répression contenir ceux qui en ont envie et n’ont pas les revenu pour les acquérir. Si les humain avaient du se contenter de leur quotidien sans rêver d’avoir une vie facile nous serions toujours dans des grottes.
Pour autant nous vivons avec la difficulté de notre espèce, c’est à dire que la rareté crée des conflits, mais quand les choses sont abondantes nous les délaissons. Une solution réside de trouver seulement un moyen intellectuel pour que les hommes puissent se différencier pour être soi sans que cela nuise aux autres et provoque des guerres. Or le développement du fascisme n’est pas la réponse adapté, et cela nous le savons d’expérience récente. il est donc important que chacun puisse disposer d’un revenu d’existence. c’est ce que nous avons codifié dans la déclaration des droit de l’homme de 1948 et que nous ne parvenons pas appliquer sans nourrir des acrimonies chez ceux qui reçoivent le leur par le travail. Devant se contenter d’un revenu de pauvreté, (860 € du salaire médian fixé par le BIT) ceux qui sont humainement assistés vivent mal cette situation qui les écarte de l’estime de soi. et ce n’est pas d’évoquer les quelques cas particuliers qui vivent en abusant de ces aides que nous apportons une solution. ces considération particulière ne servent que de justification a ceux qui exploitent politiquement ces inégalités bien humaine. 
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cordialement,