@Béo Ulaygues

tu me fais des procès d’intention. je ne défends personne, et ne condamne personne, je constate la réalité de la complexité humaine et l’évolution de notre monde et mode de vie avec ses acteurs socio-économique que j’ai été.les salariés ont abandonné la lutte car ils ne sont jamais très courageux à l’exception de quelques uns d’entre-eux. comme ceux qui se font exploité sont les plus nombreux au monde s’ils étaient capables de se révolter contre ce qui les opprime nous le saurions.généralement ils sont de la graine « d’esclave » dans le droit fil de la relation naturelle dominant/ dominé. la civilisation et la démocratie, comme la république tend à modifier ce rapport pour développer une « égalité » à bénéficier de l’interdépendance de l’effort de tous sans léser personne. le constat que nous n’y parvenions pas en conservant une organisation capitaliste, et que dans ce cadre des groupes d’hommes, au non de tous les mythe qu’ils invoquent s’assoient aux postes laissés libres par ceux qui n’ont pas le courage de lutter et une réalité alors qu’ils soit juifs, remonte a leur histoire dans des temps où faire commerce de l’argent était mal vue et on laissé cela au paria qui était alors la communauté juive, et dans le droit fil de la passation par ligné ou de manière endogamique ils ont prospéré. je ne crois pas qu’on puissent leur reprocher, même si nous pouvons déplorer leur excès. s’ils le font ce sont les autres qui le permettent. nous n’avons pas alors a les désigner comme boucs émissaire de nos malheurs, puisque par le vote ou le rapport de force démocratique nous avons la possibilité de changer cela.la question est donc pour quoi nous ne le faisons pas je crois que la Boétie à répondu à cette question il y a très longtemps.http://ddacoudre.over-blog.com/article-la-fracture-intellectuelle-fait-germer-la-graine-d-esclave-64686694.html.
cordialement.