Commentaire de Olivier Perriet
sur La France soutient les groupes terroristes en Syrie
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Difficile de parler de loin d’une situation qu’on ne connait pas :
Le Vatican, combien de divisions ?
L’ASL, ça représente qui ?
Votre analyse n’est guère flatteuse pour notre diplomatie :
vous croyez qu’un ministre, un président, ça cause ça cause ça cause et ça ne fait rien ?
Si Fafa trouve que « ces gars font du bon boulot », n’est ce pas qu’il les soutient ? Ou alors rien ne veut rien dire, tout est inutile et on en reste cyniquement là.
Lorsque François Hollande allait lancer les bombardements sur la Syrie, en septembre 2013, n’est ce pas qu’il allait aider les armes à la main ceux qu’on souhaite combattre maintenant ?
Vous vous gaussez des volte-faces (très relatives) des russes, dont le soutien à Assad n’a pas faibli.
Que dire des béances de notre diplomatie, qui affirme vouloir bombarder ceux qu’elle soutenait (directement ou indirectement je ne sais) hier ? Qui veut une Syrie « sans Assad, et sans djihadiste » ? Mais au fait, cette chimère existe-t-elle ? Un tel souhait « hors sol », n’est-ce pas signer pour une guerre d’encore 20 ans ?