Commentaire de JL
sur Allahu akbar


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Francis, agnotologue JL 17 novembre 2015 09:14

@Jonas

bonjour,

les journalistes ont commencé à parler de kamikazes dans les années 90, chose qu’à l’époque j’ai contesté aussi vigoureusement qu’inutilement, vu la petitesse de mes moyens médiatiques.

A cette époque, le terrorisme sévissait grave depuis des décennies, mais jamais on ne parlait d’attentats suicides. Bien entendu, rien de nouveau sous le soleil : il y avait déjà de multiples false flags, tant et si bien d’ailleurs que plus personne n’adhérait aux versions officielles désignant les présumés coupables.

C’est alors que sont apparus les attentats suicides, preuve flagrante affirmaient les VO de l’implication du terroriste, et à travers ce terroriste, de la mouvance à laquelle il était supposé appartenir.

Aujourd’hui, on peut dire que les attentats attentats suicides sont devenus la règle en même temps que synonymes d’attentats false flag dans l’esprit des gens éveillés, puisque nous savons qu’il est très facile pour des services secrets ou organisations terroristes hypersophistiqués, de manipuler des individus en déshérence socio-psychologique ; sans compter que faire exploser des bombes à distance est devenu un jeu d’enfant. Et quand on n’a pas un fou suicidaire à se mettre sous la main, un passeport discrètement jeté sur les décombres ou les pièces à conviction fera l’affaire.

Mais, perverare diabolicum, les journalistes mainstream persisteront dans l’erreur aussi longtemps qu’elle siéra à leurs employeurs. 

La question qui est posée ici est : à qui cela profite-il de ne pas appeler les choses par leur nom ? Ma réponse est simple : cela ne profite jamais aux opprimés dont la seule arme est la vérité.



ps. Au sujet des attentats du 13 que je qualifierai de melting pot : un amalgame de suicidaires, de spécialistes de la gâchette et de rois de l’évasion , sans compter le cas du bataclan qui demeure pour moi un mystère. Comment expliquer que les trois cinglés qui ont péri dans l’explosion de leurs ceintures de bombes n’aient fait qu’une seule victime collatérale, à savoir, un passant au mauvais endroit au mauvais moment, lequel moment était précisément celui du déclenchement occulte de leurs bombes ? Est-ce une fin glorieuse, pour un fou de dieu ? Cela ressemble davantage à des autodafés qu’à des actes de guerre.

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