Commentaire de Hervé Hum
sur La ponérologie politique : étude de la genèse du mal, appliqué à des fins politiques – une psychologie du complot (1/3)


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Hervé Hum Hervé Hum 9 décembre 2015 14:59

@PIPO

Chez moi, le contraire de guerre, c’est paix.

cela dit, je veux bien vous accorder que le sport, la compétition ce n’est pas la guerre, mais vous noterez que le principe reste le même, la lutte pour définir qui mérite d’occuper une position unique et supérieure aux autres, sinon, il n’y aurait pas de classement. Or, la guerre consiste bien aussi à définir qui occupe une position supérieure aux autres. Mais je vous l’accorde, le sport, l’idéal de compétition consiste à apprendre aux êtres à s’affronter sans se blesser ou tuer. Et pour cela, vous savez quel est le moyen , la condition absolue ? La remise en jeu perpétuelle du titre, sans cela, la compétition redeviendrait la guerre ou bien il n’y aurait plus de compétition !

Par contre, non, la concurrence économique dans le système capitaliste est bel et bien une guerre et non une compétition, ni encore moins un sport car des gens meurent, d’autres sont exploités, blessés, dégradés et ce, par millions, que dis je, par milliards. On peut aussi relever que la raison essentielle qui pousse à la guerre militaire est la concurrence économique (il est aisé de démontrer que la religion est un leurre), qu’elle soit entre nation ou entre classes sociales.

Toutefois, rien n’interdit de passer de la guerre économique à la compétition au sens de sport. Mais pour cela, comme vous l’écrivez, il y a des règles communes à respecter, décidées ensemble !!!


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