Commentaire de César Castique
sur Préface du livre « Hemingway, ese desconocido », de Enrique Cirules
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« Son chef d’œuvre Pour qui sonne le glas retrace la tragédie du peuple espagnol, abandonné à son sort par une Europe craintive d’un conflit mondial et des élites épouvantées à l’idée de voir « le joug de la disparité des fortunes » – pour citer l’inoubliable Henri Guillemin – enfin secoué et d’assister à l’émergence d’une véritable démocratie populaire et participative. »
Fondamentalement, il s’agissait quand même d’empêcher Staline d’ouvrir une succursale, accessible depuis le mer Noire, à l’Ouest du continent. Personnellement, j’ai une assez piètre opinion de l’uchronie - qui n’est tien de plus qu’une vaine façon de perdre son temps -, mais je suis bien obligé de considérer que c’est toute l’histoire de l’Europe qui basculait dans le sens du bolchevisme... Et, à tout hasard, je préfère qu’il en ait été ainsi.