Commentaire de Phoébée
sur Vincent Van Gogh, Terrasse de café un soir d'été, à Arles
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@njama
On connaît des débiles légers capables de résoudre des problèmes de perspective ou de rejouer un morceau de piano à la première écoute sans jamais avoir appris le piano.
Evidemment il s’est coupé l’oreille, nous le savons.
N’empêche je ne le prend ni pour un débile, ni pour un grand peintre. Je peux ?
Je me fous de ce qu’il a produit.
Je n’aime pas.
Cela me déstabilise, me rend parano comme une lecture de Céline ou de Kafka.
Je ne veux pas sombrer encore dans la dépression .
Puis-je ?