Commentaire de Jean Keim
sur BREXIT : villes-mondes contre États-nations, l'élite contre les invisibles


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Jean Keim Jean Keim 30 juin 2016 19:09

La peine de vivre ne vaut que s’il y a des moments de sérénité, ces moments ne peuvent être fabriqués, leur venue est imprévisible, probablement qu’ils se manifestent quand les les conditions de leur présence sont réunies, d’aucuns affirmeront qu’ils ont souvent de tels sentiments mais ils ne voient pas qu’ils ne ressentent que du plaisir, ce qui en soit n’est pas si mal ; seulement il s’émousse très vite et vite il faut un nouveau stimulus, une télé plus belle, une voiture plus luxueuse, plus d’argent à déposer sur le compte, plus de reconnaissance, plus de notoriété, jusqu’à ce que les forces vives s’étiolent, il y aura toujours les attitudes affectées et les visages qui font bonnes figures mais ce ne sont ques façades truquées, et cette indifférence pour tout ce qui n’est pas dans leur orbite.

Il est difficile de trouver autre chose que de l’artificiel dans une grande ville, trop de sollicitations, trop de facilités, trop de pensées, le silence y est extrêmement rare, le silence au milieu du bruit, alors il y a les cours de méditation, les cours de spiritualité, juste un nouveau costume.


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