Un bémol cependant à mon approbation de cet article , concernant ce passage :
’faudrait-il déjà que chacun ait du travail’
 
 Certes, cette erreur, voire cette faute d’entendement du contexte actuel est généralisée ; et elle est beaucoup plus inexcusable chez nos ’élites’ qui sont censées avoir appris à réfléchir avec le concept moderne d’analyse de la valeur .
 Mais on ne résout pas un problème (précarité/pauvreté/misère) à partir d’une solution (’travail’).
 Lorsqu’on ne mettra plus la charrue (travail) avant les boeufs (inpécuniosité chez les « masses ») on finira peut-être un jour par comprendre (même à Gauche ? ) que celles et ceux qui n’ont pas de quoi assurer leur subsistance ont d’abord besoin de manger et de subsister !
 ( pas d’assécher d’abord la mer d’Aral grâce à du Travail de ci de là décidé par des bien-pensants , garants de l’égalité ... entre apparchiks)
 On finira aussi peut-être par reconnaître cette évidence :
 l’humanité a toujours tout fait pour remplacer les corvées par une robotisation de plus en plus complexe . Et elle a parfaitement réussi dans ce sens !
 Ce qui reste à parfaire n’est pas du tout d’inventer du travail pour du travail , mais bien plutôt d’apprendre à mieux répartir , et beaucoup plus justement le temps d’otium conquis par nos aïeux autant que par nos dernières générations : ce temps d’otium ne saurait être réservé à ceux qui sont le moins dans le besoin !