Commentaire de Gieller
sur Une bonne blague
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Comme je dis aux artistes en herbe que je croise dans toutes les manifestations, tous les grands artistes qui vivent de leur art on commencé par vivre pour leur art, et parfois même à mourir pour lui.
J’entends par là qu’il faut le feu sacré, il faut que l’art vous consume, que vous ne puissiez faire autrement que coucher sur papier, ou sur toile, ou sur glaise... Il le faut, c’est comme ça, c’est plus fort que soi et peu importe que ce ne soit que pour soi, il faut que ça sorte, impérativement...
Si dès le premier jet vous recherchez déjà la notoriété et la reconnaissance d’autrui c’est que vous n’avez pas le feu sacré, vous recherchez déjà à vivre de votre art avant de vivre pour lui et ça, ça ne marche pas...