Commentaire de Philippe VERGNES
sur Affaire Jacqueline Sauvage : le syndrome de la femme (ou de l'homme) battue


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Philippe VERGNES 20 janvier 2017 12:00

@ alanhorus,


Dans cette affaire, il est inutile de compliqué ce qui est simple et de simplifié ce qui est complexe. Le suicide de Pascal Marot était apparemment évident pour son ex-femme qui cherchait à l’aider pour sortir de ce climat de violence et à reconstruire une relation avec lui. Pourquoi s’inventer des hypothèses délirantes autres que celles qui ont été retenus lors de ces deux procès d’assises ?

Cette affaire était somme toute assez simple, seule la question : « Pourquoi est-elle (JS) restée si longtemps ? » est difficile à comprendre. Et dans la stratégie suivie par les avocates de la défense, il n’y avait qu’une voix possible, celle d’apporter la « preuve d’expert » qui pouvait attester d’un ESPT de JS. Cela n’a pas été fait, « complot » ou « péché d’orgueil » et manipulation pour le cacher ?

Cet article expose la seconde hypothèse telle qu’elle se dégage de l’historique de cette affaire.

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