Commentaire de Sparker
sur Aux soumis


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Sparker Sparker 23 janvier 2017 19:10

Soumis, insoumis est-ce une bonne lecture du problème ?
Dès l’origine de l’homme Il y a une dynamique de développement et une angoisse de survie qui se développera en angoisse existentielle. Des hommes ont tenté d’apporter des réponses d’autres ont pris les renes en s’imposant et beaucoup ont suivi car il n’avait ps le charisme ou l’esprit.
Nous sommes soumis à la règle du monde, tu nais tu meurs. Etre insoumis c’est une appellation mais ce n’est pas la réalité de fond c’est contextuel lié à une conjoncture de rapports humains.
Une catégorie d’humains à compris dès la sédentarisation générant le travail physique, qu’il y avait possibilité d’échapper à ce travail et de le faire faire par d’autres pendant que lui « gère » le collectif... Car il a fallu organiser la cité, as-t-il généré de la soumission ou de l’adhésion ?
Tel chef de guerre ayant gagné son combat, est écouté comme un guide face à l’adversité et en imposant ses vues à son groupe, as-t-il généré de la soumission ou de l’adhésion ?
Mais l’homme découvre aussi son « égo » et veux vivre « sa liberté » et pour cela il soumettra l’autre par la peur de laquelle il le protège, dans une nature brutale et hostile, les forts ont pris l’ascendant n’écoutant que rarement les intelligents et s’intéressant peu au suiveurs, on se soumet si on ne se sent pas de taille à affronter la force.
Bien sur, bien d’entre nous ont compris cet état des choses et veulent se rebeller contre cet état (- :) mais la culture sociale fait en sorte que la soumission soit la première des postures pour la survie, l’esprit critique étant mis de coté bien souvent.
Il n’y a pas d’insoumis, la mort nous le rappelle.
Après diviser les gens en soumis/insoumis me semble réducteur, on peut être insoumis mais bète et aussi soumis mais intelligent, les insoumis révolutionnaires n’ont pas réussi à changer le monde, les égos si !!
Je nous voit plutôt confronté à une révolution dans la démarche des hominidés, la terre pleine d’humains, les ressources diminuant par conséquence cela nous mènera à devoir revoir nos positions et nos rapports entre humains et envers la « nature ». L’histoire nous embarque et nous soumet à sa dynamique, celle de l’exploitation/soumission/prédation à du plomb dans l’aile, les intelligents qui se sont longtemps soumis aux plus forts risque d’être alors les premiers, les forts n’ayant plus de contexte favorable.
La pensée binaire est à l’oeuvre et à construit ce monde, peut-elle continuer à imposer la soumission alors qu’elle peut difficilement répondre de problèmes qu’elle à généré ?
Peut-être sommes nous assez nombreux et sécurisés face à la nature qui nous à imposer sa loi du plus fort pour retourner la dynamique et se passer de ces déterminismes sociaux soumis/insoumis et devenir des communautaires sans classement.


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