Commentaire de sls0
sur Comment faire face collectivement aux calamités naturelles ?


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sls0 sls0 24 septembre 2017 04:29

@Robert Bibeau
En 1780 on ne pouvait pas parler de réchauffement dû au CO2, mais un universitaire US a épluché tout les rapports de dégâts, il a pu en déduire sa vitesse et sa force, c’était du 5.

Les morts à l’époque c’était déjà les pauvres et localement c’était l’esclavage.
Quand je parle de pauvreté c’est surtout l’éducation, pour renforcer une maison style pauvre ça me revient 120€ en moyenne, c’est pas toujours une histoire de cout.
On a oublié la condition de pauvre chez nous, un pauvre est dans sa caste, il ne cherche pas trop a en sortir, c’est assez fataliste et dieu y pourvoira.
D’ici quelques décennies de la façon que c’est parti la psychologie du pauvre on verra ça sous nos lattitudes.
Avec un excès d’énergie surtout dû au pétrole il a fallu du pauvre éduqué (la classe moyenne), comme on a passé le pic énergétique on peut revenir à l’ancien système, 1% de riches éduqué et 99% de pauvres sans accès à l’éducation.
Le pauvre a toujours été une quantité négligeable, on a pas trop a s’en inquiéter.
Avant les plus riches détenaient 10-20% de la terre, avec l’argent de monopoly que l’on va rembourser, ils en sont a la moitié, la donne a changé un peu.
Dans un environnement de pauvres la vie n’est pas trop désagréable pour le non pauvre. Le pauvre est obéissant, il ignore ses droits, il fait tout ce qu’on lui dit de faire et il est content, il peut nourrir ses mioches.
Caricature ? Je fais de l’aide scolaire, du changement de « caste », c’est visible à l’intérieur d’une famille, les parents sont heureux pour les enfants mais il y a un mur qui s’installe.
Invité à la maison pour manger pour les parents il est normal que leur enfants d’une caste supérieure mangent à ma table mais pour eux c’est la gène, toute les excuses sont bonnes pour manger séparément, soit dans la cuisine ou le patio où est la place du pauvre. Au bout de 5 ans ça perdure, le pauvre assume son rôle, c’est bien gravé.
Cette expérience me permet de dire que si le pauvre se révolte de temps en temps, la révolution c’est pas à sa portée.

Au sujet de Rousseau, on évite d’être binaire, on est pas à 100% mauvais ou bon, il n’échappe pas à cette règle.
En plus employer les mots et discours des autres ça montre un vide qu’on essaie de remplir avec les mots des autres.
Tout n’est pas blanc ou noir, on prend ce que l’on estime le meilleur, comme chacun a son meilleur il y en a pour tout le monde.

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