Commentaire de velosolex
sur L'Affaire Weinstein. Harcèlement. Le piège de la victoire facile


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velosolex velosolex 18 octobre 2017 00:50

Un éléphant, ça trompe énormément. La soif de reconnaissance de ces pachydermes passe forcément par la sexualité. Pas celle jouissive et pure des enfants d’eden, mais celle des soudards et des gros porcs !...« Do it » Nous disait Jerry Rubins, avant d’être rattrapé lui aussi par le système. Sans doute ne courrait il pas assez vite.....Il Il faut que ces gros pervers se rassurent sur le fait qu’ils en ont, de l’entrecroise et des couilles, et qu’ils l’exercent sur un gibier de prix. Ils jouissent comme ils crachent, comme ils chient, comme ils nous conchient !

 Les prédateurs du sexe sont légions dans la société du spectacle et de la politique, pour des raisons évidentes d’égo exacerbé et de pouvoir. 
C’est ainsi qu’on arrive au complexe DSK et autre Winstein, ces ogres presque pathétiques s’ils étaient privés de leur canne, c’est à dire de leur phallus, cet œil de cyclope qu’il faudrait crever avec un pieu ou un crayon bien aiguisé. 
A une certaine époque Il y eut des écrivains comme Fitzgerald pour nous parler de ces choses, je veux dire de cendrillon, du prince charmant, des citrouilles et de « Peau d’âne » mais en n’y mettant cette touche de légèreté, d’humour et de poésie qui évoquait la transcendance, juste avant le désenchantement, juste avant que le film ne devienne gore, que la musique ne s’enraye. 
Et puis il y eut Truman Capote, le copain de Marylin. Elle lui avait confié avoir évoqué avec Jane Russel son envie de mouler son charmant derrière dans le ciment frais d’Hollywood boulevard, à coté des pieds ordinaires des autres célébrités. Pour être plus prêt de la vérité peut être. C’est dire que cette fille connaissait les règles du métier que l’on fait semblant de redécouvrir. Et l’on prend des airs de vierges offensées, en ces tristes jours de pornographie intempestive, où voilà longtemps que le loup de tex avery tire autre chose que la langue, même aux petits enfants. 
Le grand pan est mort, il est de plus en plus difficile de bander devant l’étalage de cette pauvre planète, contrainte de s’offrir au plus offrant. J’ai bien peur que la fin du monde soit bien triste, comme disait L’ami Georges. Même avec du viagra, et en tâtant le cul de l’hôtesse. Rendez nous les petites fleurs. Rendez nous Jaurès par dessus le marché. Vous l’avez deviné, je ne parle pas de celui de Brive la gaillarde !

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