Commentaire de leypanou
sur Le pouvoir au peuple
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pour finir abrupt, je ne suis pas partante pour que l’exploité d’hier devienne l’exploiteur de demain, que l’humilié d’hier devienne l’humiliant de demain, que le violenté d’hier devienne le violent de demain : il manque « où la victime d’apartheid d’hier pratique l’apartheid aujourd’hui -pas demain ».
Mais, d’une manière générale, ceux qui « changent de camp » deviennent les pires défenseurs de leur camp actuel. Des trotsko ou des descendants de réfugiés espagnols -des dez quelque chose- qui deviennent des FNeux, ce n’est pas ce qui manque.