Commentaire de JL
sur Les Djihadistes sur le retour : le paradoxe
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Bonjour Marcel MONIN,
j’aurais volontiers ajouté quelque chose dans l’intro, par exemple,
"Écoutant religieusement tous les matins Bernard Guetta Des individus sont partis de leurs cités de banlieue pour aller tuer
dans les rangs de diverses unités combattantes ayant comme objectif de
renverser les autorités gouvernementales syriennes".
Mais la suite ne laisse aucune ambiguïté.
’’Que l’on redoute que les citoyens français qui ont contribué au « bon
boulot » sur place (en Syrie), aient envie de faire du sale boulot (en
réalité la même chose : tuer du mécréant) une fois revenus en France est
une préoccupation réaliste.’’
Je dirai même plus : on peut en effet redouter que ces supplétifs-à-leur-insu, déçus et humiliés aient envie de se venger du mauvais tour que les médias menteurs leur ont joué en commettant des attentats meurtriers sur notre sol. Mais je doute que ça dérange beaucoup Macron : bien au contraire, il en profitera pour se faire valoir encore plus.
Le « paradoxe du djihadiste » est l’autre nom de la schizophrénie des dirigeants occidentaux.