@Christian Labrune
Vous utilisez le subterfuge de « glisser » de sujet (diversion). Il s’agit spécifiquement de l’attaque au gaz présumée, et du fait que c’est à ceux qui affirment qu’il y a eu cette attaque d’apporter la preuve, et non aux autres d’apporter une preuve de « non attaque ».

Concernant la rébellion en Syrie de manière générale, s’il a pu y avoir des mouvements spontanés à l’origine, elle a très rapidement été récupérée par des mouvements jihadistes sponsorisées par des pays du Golfe, et pour certains armés par l’occident, faisant appel à des combattants venus de pays extérieur -dont la France-. Les forces gouvernementales ont été très fortement débordées, et ont du aussi recourir à l’aide d’alliés. C’est globalement cette guerre civile avec ingérences extérieures qui a conduit à ce grand nombre de victimes, non pas le régime à lui tout seul, sadiquement contre sa population selon le discours politco-médiatique mainstream, pas plus que ce n’était le cas de Kadafi. Et le plus gros danger pour le monde a été EI , que les occidentaux ont du contribuer à éliminer alors que leur politique avait favorisé son émergence et son développement -Israël que vous soutenez aurait été en danger avec un tel voisin s’il s’était étendu jusqu’au Golan-. Le gouvernement syrien avait garanti le pluralisme religieux, alors que les jihadistes opprimaient les autres religions, notamment les chrétiens d’Orient, (malgré ce que prétend une récente campagne médiatique orchestrée)