Commentaire de Jean-Paul Foscarvel
sur Le bal des psychopathes
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Il n’est pas le premier, ni ne sera le dernier.
Shakespeare avait déjà tout appréhendé, Macron, c’est le Macbeth moderne, avec à ses côté Lady Macbeth.
Mais nous sommes au XXI° siècle, où la dérision l’emporte sur l’esprit de tragique.
Ce n’est qu’un Macbeth dérisoire.
Il est alors Macbett (d’Eugène Ionesco) à la fois cruel et vide, inexistant et omnipotent, irresponsable et arrogant.
La forêt finira-t-elle par monter vers le château ?