Commentaire de Claude Simon
sur Les clés du bolchevisme néo-libéral


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Tzecoatl Claude Simon 6 août 2018 20:58

@Jacques-Robert SIMON


Il est évident que le marché, en théorie, est une méthode bien plus douce que le fait politique pour décider de la rareté ou de l’abondance. Chacun peut dès lors arbitrer par lui-même, là où un politique ferait un carnage. Enfin, je parle du marché des physiocrates du XVIIIème, pas de celui du Chicago Board of Trade, qui peut avoir les même conséquences qu’un politicien. Pour la même raison qu’évoquée précédemment, à savoir que la spéculation décide des cours (96% des transactions).
Car la main invisible n’existe pas, il n’y a que l’anonymat des acteurs de marché.

Mais oui, on peut bien miser sur l’initiative, privée, publique, ou associative d’ailleurs.

Là où Schumacher a été blâmé, c’est qu’il proposait des techniques intermédiaires au « Tiers-Monde ».
Et je vois, de çi de là, pour éviter la pollution intérieure, un rétropédalage manifeste concernant les produits d’entretien, d’hygiène, etc. 

Visiblement, l’Occident adopte ses positions sur certains points.

Il critiquait aussi la nécessité de besoins circulaires, à savoir qu’un besoin en implique un autre.

Exemple à titre perso : exposé à de gros risques sanitaires, je suis parti doxha en tête, pas de médicament (souvent à effets secondaires). Malgré toutes les pathologies encourues, je suis pleinement satisfait de ce choix.



Voir ce commentaire dans son contexte