Commentaire de Claude Simon
sur Les clés du bolchevisme néo-libéral


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Tzecoatl Claude Simon 7 août 2018 11:24

Si on dézoome un peu l’article, on voit bien que l’impérialisme occidental n’a plus toutes les cartes en main afin d’exploiter dans le crime les ressources (Afrique, Moyen-Orient).

Mais on conçoit fort bien que la tâche est rebutante.
 J’ai un peu l’impression qu’arguer de la raréfaction, et réemballer en cause écologique, est un peu en trompe l’oeil.

Après avoir multiplié les terroristes, les rebelles modérés et les changements de régime démocratiques afin de multiplier les barils de pétrole, les ordinateurs, les smartphones et les profits, l’héritage légué par le mondialiste semble tendu à gérer.

A la messe du veau d’or de JR Simon, les égarements, rien qu’à voir ce qu’à donné les différentes sonates capitalistes (libéralisme, socialisme, fascisme, keynésianisme, mondialisme), sont déjà à l’oeuvre.
Au moins, on perçoit très vite qu’il s’agit d’une tyrannie qu’il a la « grâce » de justifier, se permettant donc de dicter ou de suggérer ses besoins au peuple. ou sa rareté, comme en bolchevie.

Je vais rester fidèle au petit catéchisme sur l’Exode que j’ai reçu, et tourner les talons à la pyramide financière des fanfaraons financiers qui s’achètent des fanfarons médiatiques, celle qui mène tant d’individus de pertes en illusions perdues, la messe étant terminée. 

Puisque la clé de voute de la pensée attalienne (ou attardienne) est d’intellectualiser son mépris social en maîtrisant le destin social par le revenu, il manquait donc son collatéral, l’accès aux ressources. Voilà qui est fait : 20/20 Mr Simon.

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