Commentaire de Olivier Perriet
sur Les migrants : du billard à trois bandes


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Olivier Perriet Olivier Perriet 14 août 2018 18:41

@Ariane Walter


Moi aussi les poutiniens me font rire, qui sont si enthousiastes pour un pouvoir à poigne là-bas, et pleurent sur le « flicage » ici.

Une longue tradition les amène à vendre leur propre pays, peu importe pour qui. On ne se refait pas.

Ne rêvez pas trop quand même : Poutine a bien compris que l’URSS était en partie morte d’avoir payé les yeux fermés pour tous les c(h)ancres du monde, pourvu qu’ils se réclamassent (? ?) du communisme. Cuba ça coûte cher.

Ce temps béni ne reviendra pas, il n’y a plus de sou chez eux non plus.

Il est déjà en train d’essayer de nous taxer pour financer la reconstruction de la Syrie de son ami Assad alors

Voir ce commentaire dans son contexte