Commentaire de Macondo
sur Où il est question de souvenirs de jeunesse, de ralentisseurs et de démographie


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Macondo Macondo 20 août 2018 14:07
@Michael Gulaputih ... Bonjour. Désolé pour le retard j’explorais un ruisseau et tel un sous-préfet m’y suis égaré. Répondre à votre dernière question est facile, vivant déjà au quasi-moyen-âge - en comparaison de la très grande majorité de mes contemporains. J’ai fui la civilisation (...) pour la plupart des bonnes raisons citées dans votre article. Une voie disant : vivre en ville - avec ses innombrables commodités « très spectaculaires » - c’est détenir la certitude de ne jamais pouvoir montrer quoi que ce soit d’historique et de personnel à sa descendance. Tout doit disparaître, tout va disparaître, tout a effectivement disparu. Ce qu’offre encore le milieu rural - où « le bon vieux temps » subsiste dans les relations humaines - c’est aussi de pouvoir faire grimper un petit-fils dans un arbre escaladé autrefois par ses aïeux. Si cela n’est rien pour Juncker-on-the-rocks, il n’empêche, c’est ma quête : transmettre un amour éternel du biotope permettant d’aborder sereinement les prélèvements respectueux menant - le prophète ardéchois a raison - à une vraie Sobriété Heureuse. Ca coûte ? Un bras ! Pas celui qui porte la rolex, celui à se retirer du Q pour se mettre en accord avec ses idées, ses principes, ses divagations réactionnaires, ses gênes. Mais nous sommes tous différents et vivons dans des paroisses multiples que surplombent les vieux clochers ... Je tiens à vous faire partager mon dernier grand moment de bonheur intellectuel. Du Michéa, de très haut vol. Ca en dit plus, sur la sociologie, l’économie, la politique, le marché, que tous les discours des trois dernières décades, en 25 petites minutes. Au plaisir ...


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