Commentaire de Morologue
sur Le ghosting, cette tendance qui fait fureur
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Si je réalise que des fréquentations n’ont que dédain pour moi, que notre relation était fondée sur un malentendu à mon désavantage malencontreux, débile voire salopard, et que donc ces fréquentations sont malsaines, suis-je un sadique, un psychopathe et un lâche, de « ghoster » des « sadiques, psychopathes et lâches » qui me font tourner en bourrique ? (Non parce que, au jeu de cet article, nous sommes tous « de Grands Corps Malades » ... Non. Merci d’arrêter de jouer le jeu du DSM et psychiatrisme à tout crin qui règne, pour le pire : lui-même, il biaise les relations humaines ès « t’es schizo, parano, pervers narcissiques », j’en passe et des meilleures - et surtout des pires antidémocratiques de type censureuse sourcilleuse d’une vilenie sans nom).