Commentaire de Christian Labrune
sur Les paradoxes de Jupiter


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Christian Labrune Christian Labrune 12 octobre 2018 11:13
Ce qui fait que l’institution présidentielle fait aujourd’hui moins penser – toutes choses égales par ailleurs- à « Jupiter » qu’à Deschanel.
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à l’auteur,
Vous savez bien que les portes des trains sont verrouillées automatiquement dès le départ, et mieux encore celles des avions. Rien à craindre, donc, de ce côté-là.
Il faut convenir cependant qu’une certaine exaltation dans les discours, et cela dès la campagne des présidentielle, avait de quoi surprendre un peu...
En tout cas, il serait peut-être prudent de faire élaguer les arbres des jardins de l’Elysée et, s’il existe encore, d’y faire combler le bassin.
Il y aurait aussi le risque qu’il bissât un discours très applaudi, comme Deschanel à Bordeaux. Fort heureusement, il est quand même de moins en moins applaudi.

Tout va très bien, Madame la Marquise...

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