Commentaire de goc
sur Notre Dame : le diable est dans les détails
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@Fergus
Bonjour Fergus
je relativiserais un peu vos propos
il ne faut pas oublier qu’au moyen-age (époque de la construction des dites cathédrales), le sacré et le profane se mélangeait à tout bout de champs, y compris dans les églises qui pouvaient aussi bien accueillir une messe grandiose que des spectacles païens à la limite du « sacré » suivant les fétes celebrées, voir du satanique (avec les buchers pour sorcieres).
On trouve un bon exemple de ces mélanges dans les « Carmina-burana » (les vraies, pas celles fascisantes de Carl Orff), ou on trouve aussi bien du chant sacré que des chansons d’amour et même des chansons à boire.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ren%C3%A9_Clemencic