Commentaire de Christian Labrune
sur Israël/Palestine : NON, NON ! Ce n'est pas une guerre


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Christian Labrune Christian Labrune 11 mai 2019 15:42

Bien sûr que les Palestiniens ont été chassés de chez eux.

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@JPCiron

Au lieu de raconter vos habituelles sornettes et de les justifier en renvoyant à d’autres cironades (on n’est jamais mieux justifié que par soi-même !), vous feriez mieux de nous expliquer comment les terres des sionistes ont été acquises quand elles étaient encore sous la juridiction de l’Empire Ottoman puis du mandat britannique.
A qui ont-elles été achetées ?
A des petits propriétaires arabes qui habitaient là ? A de gros propriétaires qui n’avaient jamais habité la région mais qui vivaient au Liban ou ailleurs ?
Si vous aviez lu les historiens, vous pourriez entrer dans un certain nombre d’aperçus historiques intéressants. Mais vous préférez répéter des formules qui paraissent tout droit sortie du site de propagande Euro-Palestine.

De tout temps, les terres ont appartenu à ceux qui les avaient conquises (ou achetées dans le cas qui nous occupe) et se montraient capables de les mettre en valeur, de les défendre contre les prétentions annexionnistes des voisins.

La guerre de 48 se voulait une guerre d’extermination : l’idéologie du mufti nazi de Jérusalem était la doxa des Arabes de la région en ce temps-là, et c’est encore celle de toutes les factions palestiniennes. Ce monde de l’islam ne connaît qu’une chose : la force et la violence. Tout cela est parfaitement justifié d’avance par Allah. « Tuez les Juifs, cela plaît à Dieu », gueulait régulièrement le mufti nazi dans ses émissions de radio.

En 48, ils ont voulu avoir recours à la force brutale : cinq armées organisées face à quelques organisations défensives peu armées et sans rapport avec ce qui deviendra Tsahal à la fin du conflit. C’était gagné d’avance : on allait massacrer les Juifs, et on jouirait de toute la terre entre la Méditerranée et le Jourdain.
Mais les génocidaires ont été battus à plate couture. C’était la réédition du combat de David contre Goliath. Et voilà que les tueurs osent se plaindre ! Ils voulaient massacrer, ils ont été battus, et on ne les a pas pour autant massacrés. Ils sont encore là, incapables de rien produire d’autre que des pleurnicheries à n’en plus finir et des assassinats de femmes et d’enfants.

Le spectacle de la succession de tels épisodes dans l’histoire donne la nausée, tout autant que les interventions, sur cette page, de ceux qui se font spontanément les esclaves des plus lâches et des idéologies les plus abjectes.


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