Réseau International vient de sortir un article intiulé  : comment la finance internationale a fabriqué Greta Thunberg, la nouvelle icône du climat.

Derrière ce personnage se profile des start up et des Think Tank — créés par les milieux d’affaires.

Tout ce beau petit monde se prétend écologiste, mais dans une seule optique : tout ce qui va rapporter gros aux milieux d’affaires très emballés par le concept du Green business.

Surtout business. Pour le green, il leur restera toujours les parcours de golf !

Lorsque les naïfs et les pleurards larmoyants devant leur écran — pendant que la jeune fille déballe sa petite légende urbaine sur le réchauffement climatique, auront compris — il sera trop tard, les lois des promoteurs de ce nouveau capitalisme verdoyant mais néanmoins très glauque dans sa finalité, auront été votées, lois que l’on peut d’ores et déjà qualifier de scélérates :

1/ obliger les gens à payer des taxes supplémentaires pour « sauver le climat », faut bien justifier ce genre de taxes !

2/ pendant que les promoteurs, eux, continueront sans vergogne, leur train de vie fastueux sous tous les tropiques et les climats divers de la planète — il n’ont absolument cure de savoir sous quelle température bouffer de la langouste, du homard ou du caviar, et dans quelles conditions ces espèces ont atterries dans leurs assiettes ! En se foutant bien évidemment de toutes les lois géo-thermiques,

3/ Des lois pour obliger les gens des classes populaires à adopter de force tout ce que le green business mettra sur la table commerciale, via une pub agressive, invasive, intrusive, indécente, de nouveaux gadgets et matériels sensés sauver la planète et préserver les éco-systèmes, ce qui fera grimper les actions du développement durable et les stok-options à développer durablement pour eux.

4/ pendant que les promoteurs continueront de se goinfrer, des lois nouvelles pour inventer après le réchauffement climatique qui aura fait son temps, je gage qu’un jour, la planète comme de par hasard va tout d’un coup se refroidir, et le green business enfourchera à son tour la nouvelle religion de la peur, mais cette fois-ci, du refroidissement planétaire, après celle du réchauffement climatique, et de nouvelles taxes seront votées et vont surgir. La taxe étant devenue le b.a — ba d’une « bonne gouvernance » !

Quand est-ce que les gens dans leur grande majorité vont le comprendre et cesser de répéter comme des perroquets, après les gourous, les insanités du déversoir médiatique ?