Commentaire de paulau
sur Voltaire, Schopenhauer et la haine des juifs
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La disparition des limites, effet des Lumières ?
Trois débats nous sont imposés par les élites : le genre, les droits de l’animal, l’euthanasie.
Derrière les bons sentiments affichés on s ’aperçoit que se font jour des conséquences absurdes sinon abjectes.
Si
le genre n’est pas lié au sexe, pourquoi ne pas en changer tous les
matins ? Si le corps est à la disposition de notre conscience, pourquoi
ne pas le modifier à l’infini ?
S’il n’y a pas de différence entre
animaux et humains, pourquoi ne pas faire des expériences scientifiques
sur les comateux plutôt que sur les animaux ? Pourquoi ne pas avoir de
relations sexuelles avec son chien ? Pourquoi les droits de l ’Homme ?
S’il
est des vies dignes d’être vécues et d’autres qui ne le sont pas,
pourquoi ne pas liquider les « infirmes », y compris les enfants «
défectueux » ? Pourquoi ne pas nationaliser les organes des quasi-morts
au profit d’humains plus prometteurs ?
Il existe un point commun à
toutes ces théories : la volonté d ’ effacer les limites. Limites entre
les sexes, entre les animaux et les humains, entre les vivants et les
morts.
Ce sont ces limites qui nous constituent. Ces théories sont inhumaines.