Commentaire de Armand Griffard de la Sourdière
sur Le cavalier désarçonné
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Je suis quand même un peu étonné qu’il ne ce soit trouvé quelques clampins ou autres gueux dansant pour achever la bête en toute discrétion à la faveur d’un crépuscule embrumé *
« haro sur le baudet ! » l’occasion faisant le larron
* (évidemment çà coupait court à la fable )