Commentaire de Sandro Ferretti
sur Clare Maguire, la fille qui fait chialer les sourds


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Sandro Ferretti Sandro Ferretti 9 novembre 2019 17:31

Bonjour aux derniers intervenants,

Merci à ceux qui ne viennent pas ici pour me parler psychanalyse à deux balles, ou me donner de leçons de scribouille depuis leurs champs salades...

Je tiens à corriger une erreur que j’ai faite à propos de « the house of the rising sun » :

un ami, qui est une encyclopédie vivante du rock, me signale que ce n’est pas Clare Maguire qui a féminisé le texte initial , mais que ce sont « The Animals », qui en leur temps ( et le texte traditionnel anonyme date de bien avant les années 60) l’ont masculinisé avec « and many of poor boys ».

Il semble que le texte initial parlait en effet non pas d’une maison de jeu ou d’un « clandé », mais d’une maison de passe, et que celle qui parle dans le traditionnel initial est une fille, une prostituée, qui parle donc d e « many of poor women, and God only knows I am one ».

Dont acte.

Si c’est cet ami qui le dit, pas besoin d’aller vérifier sur« le père Wikli. »


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