Commentaire de le bulot
sur Griveaux grivois : la démocratie en danger ?
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Il ne faut pas avoir peur de se salir les mains en sortant les torchons de la corbeille à linge (sale) pour lire ce genre d’article :
Ça m’a rappelé une vieille blague. Vers 1900, à la « belle époque », un premier ministre est attablé au Fouquet’s avec son épouse quand une jeune femme vient lui faire un bisou sur le front en disant :
- Bonjour biquet !
- C’est qui celle-là, demande l’épouse ?
- C’est ma maitresse, répond le premier ministre
Outrée, la légitime manque de s’étouffer et déclare :
- Je divorce
- Si tu veux, dit son mari, mais alors, finie la belle vie, les domestiques, la tralala, l’opéra et les belles robes
A ce moment-là, l’épouse regarde vers le fond de la salle et demande à son mari :
- Ce n’est pas « ton » ministre des finances, là-bas, qui nous fait des signes ?
- Si, c’est bien lui.
- Mais qui est la femme avec lui ?
- C’est sa maîtresse.
- La-nôtre est mieux.
La gentry parisienne n’a pas beaucoup changé, et elle ne se limite pas à la faune LREM.