« on se demande [...] si le Coronavirus n’est pas en train de devenir un coupable idéal pour cacher les erreurs de nos politiciens »

Ben, ils prennent au contraire des mesures qui sabordent ce qui marchait encore dans l’économie, leur panique face à l’épidémie est donc bien réelle.

Certaines mesures annoncées par le premier ministre ce soir sont arbitraires, et vont faire s’agglutiner les gens dans les hypermarchés, alors qu’en laissant ouvert les petits commerces, les gens seraient davantage dispersés, c’est le monde à l’envers !
Les tabac restent ouverts ainsi que les magasins de presse, par contre les magasins de vêtements sont fermés, drôle de conception de l’« indispensable ». Pour acheter des chaussures ou des ampoules électriques, il n’y aura plus que les hyper, la « concentration » va s’aggraver drastiquemen.

Car des milliers de petits commerces déjà très « limite » en terme de viabilité vont faire faillite : les stocks périssables seront perdus, le bail du local devra être payé, et les indépendants ne perçoivent pas d’indemnité de chômage.

Les commerces de plats chauds à emporter (pizzas, crèpes...) devraient en tout cas être considérés comme du commerce alimentaire et non pas de la restauration, car puisque les restaurants et les « cantines » seront fermés, il faut bien que les travailleurs mangent. Noter que les sandwichs froids -vendus en boulangerie notamment- présentent le danger viral décrit dans l’article.