Commentaire de Jonas
sur Coronavirus : Arrêtons la folie couteuse et liberticide de mettre les gens en bonne santé en quarantaine !
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@eau-du-robinet
Il faut tordre le cou aux rumeurs et aux complotismes qui déferlent sur la toile.
Le 26 mars 2020 c ’est la Chine qui reconnait en avant première dans la grande revue scientifique « NATURE » que le coronavirus est d’origine animale. Par ailleurs l’OMS à la fin de l’année 2019 avait recommandé a nouveau à la Chine de fermer ses marchés d’animaux sauvages, qui normalement étaient censés être fermés depuis 2003, ce qui n’ a pas été fait.
<< Identifying SARS-CoV-2 related coronavirus in Malayan pangolin >>
« Il est urgent d’enquêter sur l’origine animale de l’épidémie de Covid-19 » écrit Didier Sicard , spécialiste des maladies infectieuses , qui a notamment travaillé longtemps sur le VIH. Docteur en médecine interne , il est aujourd’hui professeur émérite à Sorbonne Université. Ce qui frappe dit-il dans cette crise est « l’indifférence au point de départ » , à l’origine de la pandémie.( le professeur D. Sicard est impliqué dans la création de l’Institut Pasteur au Laos). (https://www.franceculture.fr/sciences/didier-sicard-il-est-urgent-denqueter-sur-lorigine-animale-de-lepidemie-de-covid-19) On peut également retrouver l’interview du professeur Didier Sicard dans le journal en ligne « MEDIAPART.
— Vous souhaitez revenir aux origines du mal ?
— Professeur Didier Sicard » Le point de départ de cette pandémie , c’est le marché ouvert de Wuhan dans lequel s’accumulent des animaux sauvages, serpents, chauves-souris , pangolins, conservés dans des caisses en osier. En Chine , ces animaux sont achetés pour la fête du Rat. Il coûtent assez cher et ce sont des aliments de choix. Sur ce marché , ils sont touchés par les vendeurs , dépecés , alors qu’ils sont maculés d’urine et que les tiques et les moustiques font une sorte de nuages autour de ces pauvres animaux, par milliers . Ces conditions ont fait que quelques animaux infectés ont forcément infecté d’autres animaux en quelques jours.
Ce qui me frappe toujours, c’est l’indifférence au point de départ. Comme si la société ne s’intéressait qu’au point d’arrivée etc.