@nono le simplet
Les statistiques nous disaient que le risque d’accident nucléaire était tellement négligeable que ce ’n’était pas même l’intérêt dans parler.
Trois accident nucléaires plus tard ,on préfère oublier ces certitudes.
Le dernier, en date, Fukishima, est remarquable. Il est à la rencontre en effet de deux risques, que les scientifiques et les statisticiens n’avaient pas modélisé dans le même dynamisme explosif :
L’intervention d’un événement non prévu, un tsunami d’ampleur sidérale, servant de déclencheur à une deuxième catastrophe, par effet mécanique, les deux se potentialisant au niveau du désastre systémique.
J’ai lu un article sur des ingénieurs du nucléaire en France, qui paniquaient à l’idée qu’il y ait trop de malades parmi eux, avec les risques de fatigue et d’erreurs pour les autres. Ne parlons pas de l’arrivée d’une canicule…..
Quand une pandémie éclate, la statistique tente de projeter dans l’avenir un ensemble de données tangibles, en oubliant plusieurs choses : Les éléments concomitants à une catastrophe qui peuvent en déclencher d’autres en chaine. Sur les événements humains, l’irrationnalité des peuples doit amener la aussi beaucoup de prudence. J’entend des cinglés qui défient le confinement, aux states, qui pensent qu’ils peuvent le lyncher.
Tout cela pour dire que la projection de victimes, liées à ces notions de défit et d’irrationnalité qui règne la bas me parait relever de l’approximatif, au doigt mouillé. Perso, je préfère être ici que la bas, même si parait il l’auteur nous donne le bonnet d’âne, en oubliant les soignants. La gestion du matériel est calamiteuse, c’est sûr, mais est à mettre en rapport avec l’inconscience criminelle de l’OMS, qui est la marionnette de la chine. La pandémie, c’est le moyen de continuer la politique par d’autres moyens, pour paraphraser la citation célèbre : La guerre est la continuation de la politique par d’autres moyens. L’ombre de la CHINE est toujours présente. Elle a le culot de nous faire un bras d’honneur, en montrant ses muscles et en disant que les autres sont nuls, après avoir dévié de ses devoirs élémentaires d’alerte. Là est le vrai scandale.