@S.B.

« Moi je me balade sans masque »
C’est bien pour les autres, ça. Allez vous suicider dans un coin mais fichez la paix aux autres.

Moi aussi je me promène sans masques.

N’oubliez pas le 17, mais ça risque d’être encombré, mm dans mon bled, à Sarlat, la gendarmesque ne se déplace plus pour les appels de dénonciations dont ils sont saturés, tellement il y en a.

Reste le plan de marquer les habitations des « inciviques irresponsables » d’une peinture infamante, genre un virus.

Le masque, quand il n’est pas obligatoire mais recommandé, niveau com, c’est laisser croire à une liberté tout en sachant que c’est le peuple lui même qui fera qu’une recommandation devienne une obligation , soit par mimétisme (faire comme tout le monde) soit pour ne plus subir la pression de ses pairs qui adoptent une attitude en masse (faire comme la multitude) ou « servitude volontaire ».