@Fergus
« une Union des forces de la gauche au service d’un projet résolument social et écologique. 

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Je pense qu’on n’en est plus là, et de loin. Déjà parce que ce qu’on appelle « la gauche » n’est qu’un élément du problème, et pas du tout une quelconque solution. Il faut repartir de forces populaires neuves, non polluées, qui raisonnent en termes de solidarité humble et bénévole. Repartir de la base. Cela implique : ne plus avoir à répondre de ses actes devant les hydres de Bruxelles (donc être sortis de l’union, article 50 ou pas — je préfère pas parce que nous citoyens ne sommes pas concernés par un traité signé CONTRE nous), et se donner des délégués qui appliquent la politique du Peuple, définie par LUI. Le social, les éléments écologiques en découleront naturellement sans avoir ces idées en tête au départ.
Bien entendu, il faudra se baser sur une nouvelle Constitution où le Peuple aura toujours le dernier mot. Enfin rejeter les éléments qui président à notre échec, définis par Siéyès le 7 septembre 1789 dans un « dire » célèbre (aux alentours de la page 14).