Commentaire de REMY Ronald
sur Rénover la justice française pendant ce quinquennat face à la violence multirécidiviste, est-ce possible ?
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@HELIOS
Effectivement, vous avez raison, cette illustration envoie un message binaire plus que simpliste !
Mais,
objectivement,
il est grand temps que ce mauvais ministre de la justice
(ayant gaffé un grand nombre de fois et n’ayant pas su raccourcir les délais des procédures) soit vite remplacée lors du remaniement ministériel post 28 juin 2020.
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L’explosion racialiste animant les manifs illégales soigneusement orchestrées par le clan Traoré a pu facilement se développer en raison justement de l’insupportable lenteur endémique
de la justice française (souvent condamnée par la cour de justice européenne. Le tout a été envenimé par les aberrantes contradictions gouvernementales successives.
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Parmi différents thèmes, « En Marge » propose depuis des années une justice plus efficace, plus rapide et bien plus « pédagogique », notamment via la procédure complémentaire « d’interdiction temporaire de territoire ».
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Rien à voir avec cette justice poussiéreuse et clochardisée que l’ensemble des français (toutes couleurs confondues) ne supportent plus.
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Important :
Ayant discuté avec certaines victimes dites « de couleur »
(mon métier de copiste dans un quartier populaire m’y prédispose tout naturellement),
une quasi unanimité d’entre elles se sont exprimées en faveur d’une ferme procédure « d’éloignement » des délinquants multirécidivistes (des multirécidivistes en général, donc sans notre critère de violence ! Les gangs de pickpockets roumains multirécidivistes régulièrement relâchés sans reconduite à la frontière par exemple).
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Un sondage officiel a un plus haut niveau mériterait de voir le jour. Il nous donnerait probablement raison. Mais aura t-il lieu au cours de ce quinquennat ?
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Pour améliorer la situation, encore faut-il que notre élite ou pseudo élite (de droite comme de gauche) prenne la peine d’ECOUTER vraiment ce que disent et veulent les victimes de la délinquance multirécidiviste et non pas uniquement écouter et s’apitoyer sur les bourreaux qui défigurent les quartiers quasi abandonnés par la République.
(D’ailleurs, vous avez sans doute remarqué que l’entretien offert par la futur ex Ministre de la Justice Nicole Belloubet avait même été radicalement et médiatiquement rejetée ; preuve du caractère pathétique et hors sol de sa démarche et de sa (mauvaise) façon de penser la justice.
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La pauvreté ne doit pas excuser la violence.
Je suis pauvre. Mes amis du collectif électoral des chômeurs et des précaires VLC (vaincre Le Chômage) sont pauvres. Depuis 1995 (triste date de l’éclatant échec de notre fameux « combat anti fracture sociale » à cause des Juppéïstes) nous avons toujours refusé la violence. Veulent-ils démontrer que nous avons eu tort et que nous aurions du choisir la violence ? Et qu’il est grand temps de changer vu l’absence d’écoute des partis parlementaires ? Et pourquoi pas, d’agir... comme la famille Traoré ?