Commentaire de Fergus
sur Les grands lézards chauds des feux du midi...
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@ rosemar
« Brassens était très cultivé et n’ignorait pas le pouvoir des sonorités »
Evidemment, mais il ne se gargarisait pas de ses connaissances des structures de la langue en les nommant. Je crois me souvenir qu’il a dit un jour voir là une forme de « pédanterie ».
Pour ce qui est de mon compte approximatif de livres lus, rien de plus facile : depuis ma pré-adolescence, je n’ai cessé d’en lire, un peu moins durant la décennie consacrée principalement à la peinture et depuis une dizaine d’années. En moyenne 80 livres par an, mes plus grosses périodes de lecture ayant été dans ma jeunesse post-ado.