jeudi 13 août 2020 - par rosemar

Les grands lézards chauds des feux du midi...

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Pour le plaisir des mots : le lézard !

"Sous les noirs acajous, les lianes en fleur,
 Dans l'air lourd, immobile et saturé de mouches,
 Pendent, et, s'enroulant en bas parmi les souches,
 Bercent le perroquet splendide et querelleur,
 L'araignée au dos jaune et les singes farouches.
 C'est là que le tueur de boeufs et de chevaux,
 Le long des vieux troncs morts à l'écorce moussue,
 Sinistre et fatigué, revient à pas égaux.
 Il va, frottant ses reins musculeux qu'il bossue ;
 Et, du mufle béant par la soif alourdi,
 Un souffle rauque et bref, d'une brusque secousse,
 Trouble les grands lézards, chauds des feux de midi,


 Dont la fuite étincelle à travers l'herbe rousse.
 En un creux du bois sombre interdit au soleil
 Il s'affaisse, allongé sur quelque roche plate ;"

C'est ainsi que Leconte de Lisle évoque le jaguar, sa silhouette sombre et imposante qui fait fuir soudainement les lézards, dans un poème intitulé Rêve de jaguar...

Le lézard nous fait admirer ses formes sinueuses, au coeur de l'été : un corps fuselé et marqueté de marbrures et de motifs variés....

Le lézard surgit soudain d'une roche et nous surprend par sa rapidité ét sa vivacité car il est prompt à s'évanouir, aussi vite qu'il est apparu...

Beau reptile qu'on aimerait observer plus longuement, belle marqueterie de fins réseaux entrelacés...

 

Le mot aux sonorités de sifflante "z", de gutturale "r" semble montrer à la fois beauté et inquiétude, douceur et rudesse.

 

Le lézard évoque des animaux primitifs et lointains, des monstres originels qui fascinent et terrorisent.

Le lézard, un mur qui se lézarde, un mur en ruines qui s'écroule...

Le lézard suggère aussi cette menace, cette déchirure...

 

Le mot fait surgir les chaleurs lourdes de l'été, lorsqu'on aperçoit, au détour d'un chemin, sa longue silhouette, ses mouvements vifs, sa cambrure élégante.

Vision fugitive, éclats de lumières sous le soleil accablant de Provence, alors que les cigales répercutent leurs voix redoublées et intenses sur les paysages...

Vision éblouissante qui s'évanouit...

 

Ombre légère sur les pierres, le lézard fugitif laisse les empreintes de son image : des teintes de gris, de verts, des fuseaux subtils qui ondoient et disparaissent.

Il s'attarde, parfois, sur les murs embrasés des feux de l'été : il se laisse dorer par le soleil, devient bijou de lumières.

 

Le mot "lézard", venu du latin "lacertus" a des origines anciennes. Le poète Virgile utilise ce nom dans les Bucoliques : on voit, ainsi, dans un extrait de cet ouvrage, un lézard rechercher l'ombre des ronces pour échapper à la lourde chaleur qui enflamme les paysages....

 

Le lézard est associé au sud, à la Méditerranée, il aime les éboulis de pierres, les calanques.

Le lézard nous séduit par ses formes, ses couleurs, ses danses ondoyantes et légères, ses mosaïques surprenantes.

 

Le blog :

http://rosemar.over-blog.com/2016/07/les-grands-lezards-chauds-des-feux-du-midi.html

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70 réactions


  • Clark Kent Séraphin Lampion 13 août 2020 17:53

    petite annonce : lézard célibataire recherche mur à lézardes. pour amitié durable


  • Laconique Laconique 13 août 2020 19:13

    Leconte de Lisle, great poet :

    Quand le Nazaréen, en croix, les mains clouées,

    Sentit venir son heure et but le vin amer,

    Plein d’angoisse, il cria vers les sourdes nuées,

    Et la sueur de sang ruissela de sa chair.


    Mais dans le ciel muet de l’infâme colline

    Nul n’ayant entendu ce lamentable cri,

    Comme un dernier sanglot soulevait sa poitrine,

    L’homme désespéré courba son front meurtri.


    Toi qui mourais ainsi dans ces jours implacables,

    Plus tremblant mille fois et plus épouvanté,

    Ô vivante Vertu ! que les deux misérables

    Qui, sans penser à rien, râlaient à ton côté ;


    Que pleurais-tu, grande âme, avec tant d’agonie ?

    Ce n’était pas ton corps sur la croix desséché,

    La jeunesse et l’amour, ta force et ton génie,

    Ni l’empire du siècle à tes mains arraché.


    Non ! Une voix parlait dans ton rêve, ô Victime !

    La voix d’un monde entier, immense désaveu,

    Qui te disait : — Descends de ton gibet sublime,

    Pâle crucifié, tu n’étais pas un Dieu !


    Tu n’étais ni le pain céleste, ni l’eau vive !

    Inhabile pasteur, ton joug est délié !

    Dans nos cœurs épuisés, sans que rien lui survive,

    Le Dieu s’est refait homme, et l’homme est oublié !


    Cadavre suspendu vingt siècles sur nos têtes,

    Dans ton sépulcre vide il faut enfin rentrer.

    Ta tristesse et ton sang assombrissent nos fêtes ;

    L’humanité virile est lasse de pleurer. —


  • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 13 août 2020 20:21

    Et toujours rien sur le margouillat...


  • Fergus Fergus 13 août 2020 20:30

    Le lézard fait bien les choses : il a permis à rosemar de sortir un nouvel opus. smiley


    • Fergus Fergus 13 août 2020 20:32

      Dommage qu’une nouvelle fois, ces horribles « sifflante » et « gutturale » soient venues polluer le poème de Leconte de Lisle. La pauvre ne méritait pas cela !


    • troletbuse troletbuse 13 août 2020 21:32

      @Fergus
      mais Fergus, vous faites le troll maintenant. Y’en a déjà assez sur AV puisque vous le dîtes !


    • rosemar rosemar 13 août 2020 21:51

      @Fergus

      Quand on ne sait pas quoi dire, on se répète, on radote...


    • Fergus Fergus 14 août 2020 09:48

      Bonjour, troletbuse

      Ce n’est pas pour « troller » mais pour tenter de faire comprendre à rosemar  dans son intérêt  que ses digressions phonétiques, aussi intéressantes puissent-elles être dans un contexte plus érudit ou à caractère universitaire, enlaidissent les textes à vocation généraliste comme le sont les articles d’AgoraVox.


    • rosemar rosemar 14 août 2020 09:52

      @Fergus

      Et il insiste lourdement... Comment parler d’un mot sans évoquer ses sonorités ?


    • Abou Antoun Abou Antoun 14 août 2020 10:01

      @Fergus
      Bonjour,
      Ce qu’apparemment rosemar n’a pas compris, c’est qu’un mot désigne un objet, un être, un concept, et que relier cet objet, cet être, ce concept aux sonorités du mot dans une langue particulière cela n’a aucun sens.
      En plus ces digressions sont très ch...
      En outre, pour chaque langue, les mots n’ont certainement pas été choisis en fonction des sonorités prétendument liées à leur représentation. Leur origine se perd dans la nuit des temps avec l’étymologie, les déformations dialectales, etc. etc.
      Mais il n’y a pas plus sourd que qui ne veut pas entendre.


    • rosemar rosemar 14 août 2020 10:04

      @Abou Antoun

      Mais, enfin, vous oubliez les effets produits par les sonorités d’un mot : ils sont réels et ce n’est pas par hasard que l’on évoque la poésie des mots...
      Mais savez-vous ce qu’est la poésie ???


    • troletbuse troletbuse 14 août 2020 10:12

      @Fergus
      En gros Fergus, vous nous prenez pour des cons !  smiley


    • JC_Lavau JC_Lavau 14 août 2020 10:29

      @rosemar. Ton idolâtrie de la seule langue française ne franchit aucun pont aux ânes : la traduction dans d’autres langues.
      Tout comme les calembours franco-français des lacaniens.
      Que dis-je ! Les lacamiteux lacambours calaniens...


    • Fergus Fergus 14 août 2020 11:41

      Bonjour, rosemar

      La « poésie des mots » existe bel et bien, mais  ne vous en déplaise elle est présente dans ces mots eux-mêmes et la manière dont ils sont ressentis par les lecteurs, en aucun cas dans leur si laide autopsie phonétique !!!

      « savez-vous ce qu’est la poésie ??? », osez-vous écrire à Abou Antoun. 
      En quoi serait-il ignorant de la poésie, lui qui, très souvent, donne dans ses commentaires, de pertinentes références littéraires ? Ce propos témoigne d’une grande et très inélégante condescendance  !


    • troletbuse troletbuse 14 août 2020 11:43

      @Fergus
      Et pourtant, la condescendance, vous connaissez bien


    • rosemar rosemar 14 août 2020 12:02

      @Fergus

      La poésie est aussi faite de sonorités, ne vous déplaise... et les sonorités sont même essentielles, c’est ce qu’on appelle la musique des mots...


    • rosemar rosemar 14 août 2020 12:26

      @hilarionlefuneste

      sauf que roter et péter ne sont pas des productions poétiques...


    • JC_Lavau JC_Lavau 14 août 2020 12:50

      @rosemar. Källa ? Jungfrukällan ?
      Pourtant c’est fort musical et poétique, mais dans une langue tout aussi respectable que la nôtre.

      J’adore la simplicité et l’efficacité du dialoguiste de Москва слезам не верит

      J’ai déjà parlé ici de la concision de Béla Balázs en 1910 : 

      Judit, ou la bascule entre deux animalités


      La langue française est loin d’être la seule au monde à avoir sa noblesse.


    • Fergus Fergus 14 août 2020 13:27

      @ rosemar

      Ne vous en déplaise, j’adore la « sonorité » des mots, leur « musique ». C’est même l’un des éléments essentiels dont je tiens compte lorsque j’écris un texte, notamment de fiction ou à caractère poétique.

      Pour autant, que m’importe que soient nommées lesdites sonorités ? C’est d’un intérêt nul lorsqu’on écrit un texte ou lorsqu’on le lit. Est-il nécessaire de citer les soupapes ou le carburateur de la voiture qui vous emporte pour apprécier les paysages visités ??? 


    • Fergus Fergus 14 août 2020 13:31

      Bonjour, JC_Lavau

      « Jungfrukällan »

      Pour ceux que cela intéresse, il s’agit là du titre d’un film de Bergman qui, en suédois, signifie « Source de la vierge ».


    • JC_Lavau JC_Lavau 14 août 2020 13:43

      @Fergus. Et källa se chante en double ton.
       
      Comparé aux langues à tons et aux langues accentuées, le français est sobre et quasi-monocorde.
      Sur F-Mus, Alex Taylor a cru bon de s’écouter faire ses effets de voix, et nous imposer cela. Depuis je n’écoute plus jamais F-Mus... Les effets de voix pour nous ruser quoi penser, ça suffit : plus de soixante ans, c’était déjà vraiment beaucoup trop.


    • rosemar rosemar 14 août 2020 13:54

      @Fergus

      Si l’on ne connaît pas les sonorités et les effets produits par ces sonorités, on ne peut bien les utiliser... eh oui ! c’est un apprentissage à ne pas négliger !!


    • rosemar rosemar 14 août 2020 14:00

      @Fergus

      Votre comparaison avec une voiture et des paysages est complètement boiteuse, pour ne pas dire absurde  : on ne décrit pas des paysages en évoquant le moteur d’une voiture, mais avec une sensibilité qui passe par des mots... 


    • Fergus Fergus 14 août 2020 14:03

      @ rosemar

      Désolé, mais vous racontez des sornettes  !

      Comme je vous l’ai déjà écrit, Brassens lui-même  un expert en sonorités !  n’attachait pas la moindre importance à la phonétique pas plus qu’aux subtilités sémantiques de la grammaire expliquée aux élèves !

      Il se contentait, comme un niais à vous lire mais pourtant avec l’immense talent qu’on lui reconnait à juste titre, de mettre les unes et les autres en musique !!!


    • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 14 août 2020 14:12

      @Fergus

      Bonjour...se taper des films de Bergman ...z’êtes un héro.


    • Fergus Fergus 14 août 2020 14:13

      @ rosemar

      « on ne décrit pas des paysages en évoquant le moteur d’une voiture, mais avec une sensibilité qui passe par des mots »

       smiley
      Là encore, comme je vous l’ai déjà écrit, nombre d’ouvrages existent qui décrivent l’intérêt et la beauté de textes de littérature ou de poésie. Des ouvrages rédigés par de grands serviteurs de la langue française.
      Or, nulle part je n’ai jamais lu la moindre digression de phonétique dans ces textes dédiés aux oeuvres du théâtre ou de la poésie classique.

      Pas même dans le superbe travail de Pompidou, auteur de l’incontournable Anthologie de la poésie française ! Faut-il en déduire qu’en termes de connaissance de la poésie française et de capacité de l’auteur de cette anthologie à en faire apprécier la beauté aux lecteurs, Pompidou n’arrive pas à votre cheville ???


    • rosemar rosemar 14 août 2020 14:30

      Eh bien cher Fergus

      vous n’avez pas tout lu... loin de là !!


    • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 14 août 2020 14:31

      @Fergus

      On pourrait penser à l’ amour de Brassens pour la poésie de Paul Valéry... Moi même athée j’adore Pierre Jean Jouve ...


    • Aristide Aristide 14 août 2020 14:34

      @rosemar

      Mais qui sont ces serpents qui sifflent sur votre tête ? Evidemment, Fergus et les autres ....

      Là, si on évite la phonétique, assez chiante il faut le reconnaître, on pourra plus surement parler des figures de style : l’allitération par exemple. Je vous laisse le soin de trouver avec google mon ami. Il vous en dira plus mais pour faire simple c’est une répétition de consonnes, S en l’occurrence. La même figure de style en répétition de voyelles est une assonance. 

      Peut être que les figures de style viendront à votre secours quand vous vous serez lasse de la phonétique. Et peut être vous arriverez à nous instruire en nous distrayant à la manière d’Audiard :

      - Attention ! J’ai le glaive vengeur et le bras séculier ! L’aigle va fondre sur la vieille buse !...
      - Un peu chouette comme métaphore, non ?
      - C’est pas une métaphore, c’est une périphrase.
      - Fais pas chier !...
      - Ça, c’est une métaphore.


    • ZenZoe ZenZoe 14 août 2020 14:44

      @Fergus
      Ah Fergus, vous perdez votre temps avec Rosemar, elle est bornée de chez bornée. Elle se cramponnera jusqu’à son dernier souffle à son savoir académique, car elle n’a rien d’autre, et surtout pas le talent d’écriture comme elle le voudrait tant. Seulement voilà, il y a les poètes et les écrivains, et il y a les technocrates de l’écriture. Rosemar ne sera jamais poète ni écrivain. Hélas pour elle, elle restera pour toujours la parfaite illustration du proverbe anglais :’’If you can, you do. If you can’t, you teach’’.


    • rosemar rosemar 14 août 2020 14:48

      @ZenZoe

      Mais qui est borné au point de réfuter des évidences ? Et cela s’est produit à plusieurs reprises, comme sur l’article qui évoquait la charge physiologique des femmes...


    • Fergus Fergus 14 août 2020 16:44

      @ rosemar

      « vous n’avez pas tout lu... loin de là !! »

      Vous avez parfaitement raison : je n’ai lu qu’environ 500 livres, recueils et essais différents. Autrement dit, une infime partie de l’existant.

      Mais dois-je comprendre que vous, en revanche, avez tout lu comme cela semble apparaître en filigrane dans votre propos ? Si tel est le cas, je me prosterne bien bas devant vous pour saluer cette performance. smiley


    • rosemar rosemar 14 août 2020 17:43

      @Fergus

      Non, je n’ai pas tout lu, mais je sais que pour étudier de la poésie, il est indispensable de faire une analyse des sonorités, ne vous déplaise !!
      Vous avez compté les 500 livres ? Vraiment, quelle précision et quelle culture !

      Je me prosterne aussi !


    • rosemar rosemar 14 août 2020 17:46

      @Fergus

      Mais c’est vous qui insultez les autres à tort et à travers...
      Brassens était très cultivé et n’ignorait pas le pouvoir des sonorités.


    • foufouille foufouille 14 août 2020 17:52

      @rosemar

      j’ai eu une prof en 5° qui voulait nous apprendre à écrire de la poésie et non elle ne faisait ton truc d’aspie ou autiste.

      j’ai lu 5000 livres au minimum, pas de poésie, mais je ne sais pas tout.


    • Fergus Fergus 14 août 2020 18:59

      @ rosemar

      « Brassens était très cultivé et n’ignorait pas le pouvoir des sonorités »

      Evidemment, mais il ne se gargarisait pas de ses connaissances des structures de la langue en les nommant. Je crois me souvenir qu’il a dit un jour voir là une forme de « pédanterie ». 

      Pour ce qui est de mon compte approximatif de livres lus, rien de plus facile  : depuis ma pré-adolescence, je n’ai cessé d’en lire, un peu moins durant la décennie consacrée principalement à la peinture et depuis une dizaine d’années. En moyenne 80 livres par an, mes plus grosses périodes de lecture ayant été dans ma jeunesse post-ado.


    • rosemar rosemar 14 août 2020 19:37

      @Fergus

      Vous croyez vous souvenir ?? Voilà qui est bien vague ! 
      C’est vous qui pensez cela et vous vous retranchez derrière Brassens...


    • Abou Antoun Abou Antoun 14 août 2020 20:12

      @Fergus
      elle est présente dans ces mots eux-mêmes et la manière dont ils sont ressentis par les lecteurs,
      C’est une remarque des plus intéressantes de cette discussion.
      L’esprit humain fonctionne par association d’idées. Un son, en général, peut être évocateur pour chacun d’entre nous de choses bien différentes en fonction du vécu ; il en va de même d’un mot qui, prononcé, est un son.
      rosemar, à la différence de Proust n’est pas capable de faire son auto-analyse elle estime que tout ce qu’elle ressent a une portée universelle.
      Un exemple : J’avais à l’école primaire un excellent camarade dont le nom propre était Alliaume. Par la suite j’ai eu un préjugé favorable (sans réel fondement) pour tous les Guillaume. De la même façon ayant eu des démêlés avec un certain Bernard la terminaison ’ard’ avait pour moi une connotation négative, au point de se méfier des Gérard. Tout cela est presque absurde, mais illustre parfaitement votre propos.
      Par chance j’ai pu faire assez vite la part des choses. Le pouvoir évocateur des mots est lié uniquement au vécu, c’est une donnée personnelle et rosemar se plante complètement alors même qu’elle se confine dans la langue française. Étonnant pour une latiniste et helléniste !


    • rosemar rosemar 14 août 2020 20:49

      @Abou Antoun

      Enfin, il faudrait comprendre que les sonorités sont articulées à des endroits différents : les labiales avec les lèvres, les dentales avec les dents, les gutturales avec le fond de la gorge, etc et produisent des effets qui ont une portée universelle...

      https://tete-en-lettres.com/jeux-de-sonorites-assonance-alliteration-et-harmonie-imitative/


    • JC_Lavau JC_Lavau 14 août 2020 22:42

      @rosemar. Excepté que ça vous permet de vous cramponner à la position supérieure, qu’est ce que ça peut bien foutre ?


  • ETTORE ETTORE 13 août 2020 20:36

    Bien heureux le lézard, qui, contrairement à certains politiciens, à lui la queue qui repousse.


  • Xenozoid Xenozoid 13 août 2020 22:17

    tu as quelque chose sur les papillons domestique ?


  • martinez 14 août 2020 07:50

    Mais quand un mur se lézarde, ce n’est pas bon signe ? 

    J’attire aussi votre attention sur différentes catégories de lézards :

    lézards primitifs, lézards anciens, lézards modernes, lézards plastiques, etc.

     


    • JC_Lavau JC_Lavau 14 août 2020 08:54

      @martinez. Et pis ça se chante, grâce à Robert Desnos : 
      Lézard des murailles,
      Lézard zémétiers...


  • zygzornifle zygzornifle 14 août 2020 08:09

    Il y a aussi des reptiliens déguisés en humains , on en voit se prélacer dans l’hémicycle ....


  • troletbuse troletbuse 14 août 2020 10:07

    Pierre Perret a composé une chanson sur les lézards

    https://www.paillardes.com/index.php?param1=PA0050.php


  • ETTORE ETTORE 14 août 2020 11:23
    Abou Antoun 14 août 09:53

    @ETTORE
    Mais pour Alexandra de Taddeo Grivaux avait aussi une queue qui repousse.

    Oui ! Mais je crois qu’il avait pour cela, une application sur smart phone fourni par un émissaire.....Russe ! Da !

    A force de se palucher, il a réussi à faire croire qu’il rajouterai un clocher de plus à la Cathédrale Saint Basile le Bienheureux de la place rouge à Moscou !

    Naaaan, sérieux....On as des architectes au pin-acle dans ce pays !


  • Xenon Xenon 15 août 2020 02:43

    J’ai le lézard qui me démange alors j’le gratte un p’tit peu ...


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