@Bernard Dugué
Bonsoir, comme je l’ai mentionné dans l’article, cette date circule un peu sur les réseaux. Elle n’est pas un repère fixé réglementairement mais une sorte de balise sur l’échelle du temps au delà de laquelle, il semble que la situation ne peut qu’empirer aux yeux d’un grand nombre de citoyens. Je me suis servi de cette date car en écoutant le ministre de la santé, en contemplant sa courbe prospective de l’évolution de la pandémie si rien n’est fait, en remarquant qu’un pan entier du milieu scientifique et médical est ignoré par le pouvoir et en écoutant ce ton anxiogène répété à l’excès, je ne pense pas que la situation puisse tenir en l’état jusqu’au 30 octobre prochain. Du reste, le ministre fixe désormais à la quinzaine, l’actualisation des mesures. Comme vous, et comme pour beaucoup, je suis éberlué par le mode de fonctionnement du pouvoir et cette sorte d’inertie de la plus grande partie des communautés scientifiques et médicales. Vous, le philosophe, avez bien du travail pour décrypter ce nouvel état des consciences, de la pensée, et des modes de gouvernance. J’espère me tromper mais je crains que les choses ne puissent pas ne pas empirer avant le 30/10. (désolé pour la double négation)