Commentaire de Étirév
sur La bête immonde court toujours. Qui est-elle ?


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Étirév 20 octobre 2020 12:20

« Pharaon qui régna sur l’Égypte Ancienne vers 1378-1352 »
Juste une info en passant, comme ça :
L’Egypte fut longtemps gouvernée par des Prêtresses que l’histoire appelle des Pharaons. C’est la Femme qui faisait les lois et les interprétait ; Elle qui était Déesse et Prêtresse.
Les Pharaons sont des magistrats sacerdotaux, toujours représentés en costumes de femmes.
Dans le règne primitif, toutes les grandes dignités de l’Etat, les fonctions de juge, de médecin, étaient exclusivement réservées à la caste sacerdotale. Les hommes ne pouvaient pas y prétendre, ils étaient soumis au pouvoir des femmes appelées « des sages » (Soffet), qui leur faisaient faire un service régulier, un travail dont l’organisation avait été savamment établie. On les envoyait aussi en expéditions lointaines.
Pour les récompenser, on leur donnait le droit de porter certains signes de distinction. On comprenait déjà que les honneurs accordés aux hommes n’ont de valeur que s’ils les tiennent de la Femme.
La Femme gardait en dépôt les Livres de science et les cachait à tous les yeux avec des précautions infinies.
La connaissance des lois de la Nature, que les Livres sacrés avaient enseignées, facilitait tous les travaux, qui ne sont en somme que les applications de ces lois à la vie, ou à l’industrie.
Les lois de la physique (le Kosmos), de la chimie (l’art sacré des Temples), de la physiologie (imposées dans le Connais-toi du Temple de Delphes), étaient la base solide des travaux entrepris.
On savait tout ce que la science des modernes explique si mal, on connaissait la cause réelle de tous les phénomènes, et l’on est surpris de voir avec quelle précision tout était expliqué.
Ces connaissances qui étaient le fond de l’éducation religieuse donnée par les femmes (les Déesses qui écrivent, les Prêtresses qui enseignent) passaient dans les mœurs, dans les institutions, dans tout le milieu ambiant. Il n’y avait pas encore de place reconnue (officielle) pour l’erreur. Nous sommes, il est vrai, à l’aurore du mensonge, mais il n’a pas encore triomphé.
Egypte antique

NB : « L’IGNORANCE, MÈRE de tous les maux », « La » COVID », les ouragans Irma, Katrina, Hermine, Paloma, Sandy, etc., etc.
La Mère, la Femme, si bonnes, si douce, et pourtant, pourquoi affubler quasi systématiquemnt un nom féminin à toutes les calamités de ce monde ?
Posez-vous un jour la question, mais surtout essayez par tous moyens de trouver la réponse.


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