Commentaire de velosolex
sur Une histoire qui ne vaut pas un clou
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J’ai commencé à apprendre à lire et à écrire non avec un crayon, mais avec un marteau, à trois ans, enfonçant des clous dans un billot de bois, que mon père avait placé dans le jardin, après avoir tracé à la craie mon nom sur la coupe.
La paire de tenailles faisait office de gomme. Je me tapais sur le doigts assez souvent, mais mon père dédramatisait quand je pleurais, en me disait qu’il fallait souffrir un peu pour apprendre, et que si j’aimais assez l’exercice pour y revenir, c’était bon signe !.