Commentaire de Luc-Laurent Salvador
sur De la quintessence de la connaissance
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@Francis
Je vois que nous sommes d’accord. « Relatif » est le mot juste ici, oui.
Maintenant, est-il nécessaire ou sage de demander au « bien » de satisfaire ces trois critères exigeants que son le vrai, le beau, le bon ?
Quelque chose de bien pourrait n’être ni vrai, ni beau, ni bon puisqu’on dit, par exemple qu’ « à quelque chose malheur est bon » ?