Commentaire de Renaud Bouchard
sur Résistance de la France à l'Emprisonnement Silencieux et à la marche forcée du « Fake State » vers le « Failed State » et l'Etat failli


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Renaud Bouchard Renaud Bouchard 5 décembre 2020 16:07

Aux Lecteurs, que je suis très heureux de retrouver et auxquels je souhaite adresser à certains d’entre eux que je ne connais pas mes plus vifs remerciements de soutien puisqu’ils ont très probablement contribué à la publication de cet article.

Vous lirez sans doute avec intérêt un échange de vues avec la rédaction d’Agoravox qui n’a pas manqué de supprimer les textes qui suivent et qui expriment un point de vue fort heureusement partagé avec beaucoup d’entre vous :

 

3 commentaires :

- Message à Monsieur Renaud Bouchard, Le monopole des médias en France se conjugue avec une censure qui se radicalise pour la mise en place du Nouvel Ordre Mondial. Par conséquent sur Agoravox comme ailleurs, la « modération » se conforme à la ligne éditoriale de la direction et aboutit à une censure de la dissidence ou des propos non conformes. Veuillez bien croire à mon respect dans votre démarche même si je doute qu’elle puisse aboutir à une chose positive excepté à faire prendre comprendre à quelques-uns le jeu truqué de la Démocratie. Quand l’Agora est entre les mains d’une oligarchie, la Démocratie est une chimère complète. Je vous laisse bien entendu la parfaite liberté de publier ce message. Respectueusement Yann Esteveny

- Merci. Je me suis posée aussi la question récemment. Pour moi, mais aussi doctorix, Yann et Esteveny cazeaux qui écrivent beaucoup et bien et ne sont pas publiés depuis un certain temps. Sarahj- Merci pour ce billet fort bienvenu. cettegrenouilleci

Lettre à tous les rédacteurs, lecteurs et « modérateurs » d’Agoravox.

J’observe depuis plusieurs semaines l’existence d’une ambiance délétère et d’une situation préoccupante avec les difficultés récurrentes et la mise à l’écart de certains contributeurs de cette tribune dont plusieurs écrivent avec talent sur des sujets variés, inattendus, difficiles ou plus communs, mais toujours intéressants et instructifs, avec beaucoup d’ouverture intellectuelle. Cette situation que j’expérimente aussi avec un article au demeurant intéressant mais qui "ne passe pas la rampe" ne saurait perdurer dès lors que l’on ne voit jamais les interventions de ceux qui donnent l’impression de censurer systématiquement ce qui ne leur plaît pas plutôt que d’avoir le courage de venir en discuter au grand jour, loyalement et sans se cacher derrière des pseudonymes.

A moins qu’il ne s’agisse de la Rédaction elle-même d’Agoravox, ce qui serait alors très regrettable.

D’où cette brève missive qui, je l’espère, retiendra l’attention comme la réaction de chacun et lèvera les obstacles à toute publication présente et future.

Texte

Cher Agoravox,

Cher Monsieur Revelli,

Le silence dont vos collaborateurs et vous-même entourez certains articles et commentaires qui vous sont adressés m’intrigue vivement. Seriez-vous pour certains d’entre vous absents, malades, partis en congés, privés de télécommunications au point de ne pouvoir répondre ?

Votre service de réponse aux questions qui vous sont posées est-il encore effectif ?Vous intéressez-vous encore à la marche et au fonctionnement de ce site ?

Que dire dans le fond de votre système de « modération » sinon qu’il me donne l’impression - une fois encore -, de ne pas fonctionner dans la mesure où il ne tient pas le moindre compte des avis favorables à la publication de certains articles, dont le mien, en souffrance depuis plusieurs jours ?

Les questions que je vous pose se perdent dans un désert de « non-réponse » - « Vox clamans in deserto » -, alors que j’ai pris grand soin comme je le fais depuis des années de rédiger et documenter un texte de qualité, intéressant (me semble-t-il) , d’actualité, parfaitement écrit et qui, de surcroît, a recueilli des avis favorables à sa publication.

Je vous remercie en conséquence de ne plus tarder outre mesure pour en effectuer la mise en ligne en le portant au plus vite à la connaissance de tous ceux qui auront probablement plaisir et intérêt à le lire et sauront y apporter, le cas échéant, toutes observations utiles s’ils le souhaitent.

Cette requête vaut autant pour moi que pour tous ceux qui fréquentent et contribuent encore fidèlement et régulièrement à Agoravox et qui se posent les mêmes questions en rencontrant les mêmes obstacles et désagréments.

Sachez en effet que la censure en pareille période - si tel est le cas - est mauvaise conseillère et, faute de courage élémentaire, qu’elle fait le lit de tous ceux qui considèrent comme gênantes les pensées comme les propos, les écrits et les images qui leur déplaisent. L’actualité le démontre quotidiennement.

Si Agoravox devait emprunter ce funeste sentier, ce serait là à l’évidence un très mauvais présage pour la pérennité d’une tribune d’expression libre et de qualité qui revendique l’étiquette de « média citoyen ».

Invitez donc la triste Anastasie à remiser ses petits ciseaux frétillants, voulez-vous ?

Faites le nécessaire, publiez les contributions qui vous sont adressées et croyez, je vous prie, en mes sentiments les plus cordiaux.

Renaud Bouchard

Vendredi 04 et Samedi 05 Décembre 2020, 20h00 et 12h30

Texte à lire, à approuver, à publier et à diffuser à tous les lecteurs et contributeurs d’Agoravox.

P.-S.

Cher Agoravox, bonjour ! Cher Monsieur Revelli,
J ’imagine que vous aurez pris connaissance de mes précédents messages.Où en êtes-vous, ou en sont vos collaborateurs de la publication de mon article en souffrance ?Ne pensez-vous pas que si ce modeste papier devait susciter matière à discussion ou à avis différents le meilleur endroit pour en discuter reste encore ce beau « média citoyen » qu’est Agoravox ?L’ἀγορά n’est-elle pas avant tout cet espace public de rassemblement social et politique de la cité en même temps que le rendez-vous où l’on se promène, où l’on apprend les nouvelles, où se forment les courants d’opinion ?N’empêchez pas les voix de s’y exprimer, voulez-vous ?

Agréez, je vous prie, l’expression de mes sentiments les plus cordiaux.Renaud Bouchard
4 décembre 2020 11:20


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