Commentaire de HELIOS
sur Les Labos avouent les limites de leurs vaccins : Faut-il envisager sérieusement la préférence à donner à des traitements ?


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HELIOS HELIOS 6 décembre 2020 10:56

Puisque l’article est revenu...

Pourquoi ne développe-t-on pas simultanément un traitement ?

A mon avis, c’est tres simple... d’abord divisons la maladie en deux... la partie virale (1) qui est exterieure et la partie interieure autoimune (2) qui est la réaction du corps.

(1) La partie virale est difficile certes, mais il existe déjà des molecules plus ou moins efficaces. avec la règle du 80/20 acquerir une efficacité de 80 % c’est déjà fait et cela a couté 20%. il faudra dépenser 80 pour combler ces 20% d’efficacité.

Au prix où est vendu — par exemple— la Chloroquine personne ne va travailler pour faire un substitut ou une simple amélioration.

Gilead a bien essayé avec le Remdesivir, médicament visant le virus Ebola, mais cela a déjà couté cher et les populations concernées etant essentiellement pauvres n’ont pu le rentabiliser. L’Europe a payé en achetant pour presque 1 Milliard d’Euros sachant tres bien que cela ne servait a rien, mais a « remboursé » la recherche.

Le coup ne se repetera surement pas.

(2) La partie auto-imune de la maladie est plus liée a un protocole qu’a un traitement.

Effectivement, il y a des antibiotiques-antinflamatoires, pacifiant mais les attaques globales sur le corps, notament nerveuses s’averent plus ciblées sur des populations « inutiles et couteuses » que sur des populations productives. C’est a partir de 65 ans (pourquoi 65 exactement ? c’est juste l’age de la retraite caclulée car il n’y a aucune raison medicale a ce seuil)... donc les couts de developpement et d’usage de ces solutions sont tres chères puisque les etats freinent le plus fort possible pour maitriser les coûts de la santé.

Pourquoi toujours, parce que les coûts de santé se reportent sur l’actualisation financière d’un pays surtout lorsque il n’y a pas de rapport financier direct avec la santé (assurances privées par exemple).

Et n’oublions pas, toujours, que ce ne sont pas les pays « pauvres » qui vont financer grace a leur population insolvable.

Alors, tout cela se rajoute a un autre phenomène expliqué par ailleurs, que vous ne pouvez pas approuver/croire, c’est la soumission, où l’existence d’un traitement viendrait donner de l’espoir.

L’existence d’un traitement rentre en conflit direct avec un eventuel vaccin et les entrepreneurs-financiers-etc ont fait un choix d’efficacité industrielle donnant ainsi la primauté au vaccin.

Vous et moi, ne sommes que de la chair a canon (avant quand c’etait la guerre), maintenant la chair a médicament.

Et apres tout cela, je ne parle pas de l’interet politico-social dont j’ai un peu de mal a analyser la situation globale (un peu, j’ai écrit, pas « rien ») !

Bon dimanche


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